Nouveauté 2020 – Specialized Enduro, la lumière au bout du tunnel ?!

Depuis quelques temps, on s’autorise à penser dans les milieux autorisés qu’un nouveau Specialized Enduro 29 pointerait le bout de son nez ! Dis-moi pas qu’c’est pas vrai ! Si si, des journalistes d’investigation auraient dégoté des photos « volées » du bike durant l’EWS de Whistler le week-end dernier..!

Vous l’aurez remarqué, chez Endurotribe, on ne mange pas de ce pain là et surtout on ne prend pas nos lecteurs pour des jambons. Oui, le nouvel Enduro 29 est bien là ! Et ça fait deux mois qu’une bonne partie de la presse a les infos, l’a découvert sous toutes les lignes, et même roulé sur les trails de Californie.

Alors, au final, qu’en est-il ? Comment Specialized tente de revenir sur le devant de la scène Enduro ? Quels arguments compte-elle faire valoir ? Mardi 13 août 18h, c’est enfin l’heure ! Voici donc nos éléments de réponse…

 


Temps de lecture estimé : 9 minutes – Photos : Dylan Dunkerton / Harookz / Specialized


 

 

Le contexte

Ii faut oser le dire : inexorablement, au fil des ans, le Specialized Enduro s’est fait vieillissant. Passant – avec l’avènement de la première génération en 29 – de best-seller référent du segment éponyme, à un vélo presque banal ces temps-ci.

La dernière itération de l’Enduro, datant d’à peine 3 ans, n’a finalement pas connu le succès certainement escompté, ou tout du moins et c’est un simple constat qui vaut ce qu’il vaut, s’est faite beaucoup, beaucoup, plus rare sur les sentiers que ses versions précédentes. Pourtant, il y en avait pour tous les goûts : 27,5, 27,5+ et 29 pouces… Avec des suspensions air/ressort Ohlins qui à l’essai, présentaient un certain intérêt et sauvaient de belle manière le tableau.

Subjectivement réussi d’un point de vue esthétique, avec sa fameuse architecture X-Wing, le Specialized Enduro actuel est tombé à un moment charnière du marché des (gros) vélos d’Enduro. L’instant où la concurrence a fourbi ses armes, où d’autres marques  ont osé davantage, poussé les géométries dans leurs retranchements, trouvé de nouveaux compromis en terme de cinématique et même de rigidité. Pas de bol !

Et manque de pot/réussite, ce n’est pas les performances (ni les choix matériel…) de ses chers athlètes EWS qui ont contribué à la réussite de cette génération non plus. Mais ça, c’était avant, et le nouvel élan de jeunesse du S Racing.

Cerise sur l’échafaud, le dernier Stumpjumper – autrement plus stratégique en terme de volume – a débarqué avec de beaux arguments et plus de débattement, sans parler de la disruptive version Evo (essayée par ailleurs) qui a mis le dernier coup de pelle.

Bref, au fond du trou, tanqué dans l’ornière… la marque de Morgan Hill se devait de trouver un nouvel élan à son Specialized Enduro ! Mais comment ?!

 

 

[divider]Specialized Enduro 29[/divider]

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  • Usage Enduro
  • Roues en 29 pouces 
  • 170/170mm, Fox DHX2 & 36 Factory
  • Triangle avant & arrière Carbone
  • Reach de 487mm en taille S4, offset 42mm
  • Roues Roval Traverse SL, 30mm

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[column size=one_half position=last ]

  • Pneus Butcher GridTrail 2.6
  • Shimano XTR 4p, 200/180mm
  • 4 modèles, 4 tailles, 4999€ à 10999€
  • Poids à préciser
  • Dispo immédiate (Expert / S-Works)
  • Fiche du vélo sur www.specialized.com

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Premier coup d’oeil

Oh un Santa ! Je vois déjà les mauvaises langues crier au plagiat… Après le Stump’ esthétiquement proche asym’éprendre d’un Orbea. Voila que Specialized nous fait le coup d’un Santa avec son amortisseur au pied du tube de selle. Au premier coup d’oeil, c’est pas faux, mais au second, c’est surtout loin d’être exact…

On le voit sur ce coup-là, si quelques lignes rappellent une certaine paternité, Specialized ose et (nous) surprend dans les grandes largeurs ! Au risque de déplaire ?! Sur le catalogue peut-être, mais probablement pas sur le vélo…. La marque de Morgan Hill a rodé son coup, avec des axes de travail intéressants, des arguments à faire valoir…

 

 


Dans les grandes largeurs…

Visuellement, c’est remarquable, Specialized prend un nouvel élan. Dans le détail, à y regarder de près, c’est tout aussi intéressant. Avec l’Enduro, Specialized ose certaines trajectoires et pousse certains curseurs, de cinématique notamment, assez loin…

 

[toggler title= »Débattement » ]

Au premier rang desquels : le débattement ! 170mm avant/arrière, pour du 29 pouces, ce n’est pas si courant… On entend assez régulièrement que le 29 pouces n’a pas forcément besoin d’autant de débattement que le 27,5 pouces ! Et qui dit débattement en réserve, dit parfois comportement un peu pataud à la relance…

Mais là pour le coup, les choix s’expliquent, Spé a prévu son coup… Voyons plutôt…

 

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[toggler title= »Anti-squat et ratio » ]

… En matière d’anti-squat notamment ! Quelle que soit l’avancée dans le débattement ou les circonstances, Specialized entend bien que son nouvel Enduro pédale efficacement. Pour ce faire, la marque a augmenté l’anti-squat. Globalement, de l’ordre de 40% par rapport à l’ancien.

En Enduro moderne, en compétition, on pédale partout, tout le temps, plus tôt… du coup l’anti-squat se maintient à une valeur importante de manière relativement constante.

On voit donc un certain équilibre particulier se mettre en place : fort anti-squat pour compenser un gros débattement. Specialized ose et se positionne dans une zone différente du spectre des possibles ou des habitudes du marché. Intéressant !

L’initiative hors des normes se poursuit avec le ratio : clairement très élevé en début de course, et grosse progressivité.

Le Specialized Enduro cherche donc encore ici à améliorer la sensibilité de début de course que l’anti-squat élevé pourrait gréver…

 

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[toggler title= »Axle Path » ]

Pour augmenter l’anti-squat, Specialized choisit de profiter d’une opportunité : celle de jouer de la trajectoire de roue arrière, autrement dit de la faire déplacer vers l’arrière plus longtemps dans sa course, que d’habitude.

Le Specialized Enduro est censé offrir ainsi une suspension plus complaisante.

 

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[toggler title= »Géométrie » ]

Pour parachever l’offensive californienne, le Specialized Enduro s’adonne à la radicalité avec une géométrie généreusement « Longer, lower, slacker »… Tout pour la vitesse !

A noter, qu’un flip chip, sur le point d’ancrage arrière de l’amortisseur, permet d’abaisser quelque peu le boitier et radicaliser la direction.

Saluons enfin la charte des tailles du nouveau Specialized Enduro, à l’image de celle initiée sur les Demo et Stump’ Evo, qui s’appuie sur des tubes de selle courts et tige de selle à grand débattement.

La marque ne dicte plus forcément une taille de vélo en fonction simplement de la hauteur d’entrejambe…. Mais selon la pratique et son absence de style de pilotage, on laisse désormais le choix d’un vélo plus court ou plus long !

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Prise en main

Rendez-vous est pris en Californie, pour découvrir et tester durant toute une (seule) journée ce nouvel Enduro sur les pistes du bike-park de Northstar. Le champ de bataille de la prochaine EWS Nord-américaine.

Au programme, en compagnie des athlètes de la marque (Curtis Keene, Matt Hunter, Hannah Barnes… excusez du peu !) trois pistes permanentes ultra-rapides, poussiéreuses et souvent aériennes. On est bien loin du vélo de montagne à l’européenne – que j’apprécie – qui tricote, trialise parfois, tout en offrant des bonnes pointes de vitesse. Ici c’est gaz en grand, #fullattack. Pour dire, même sur de la double black, tout passe à vélo, à vue, et sans arrière pensée.

Ça tombe bien, mon Specialized Enduro S-Works a du débattement à revendre, une géométrie à toute épreuve et une cinématique à défendre. Pour la maniabilité, faudra repasser/retester avec un essai plus propice. Pour l’occasion, le vélo est équipé de jantes carbone et des nouveaux pneus GridTrail, plus légers que les Black Diamond.

 

[toggler title= »La taille » ]

Habitué à rouler sur du L « moderne » (Yeti SB150), Specialized me met à disposition un taille S4 pour mes 178cm et 76cm de hauteur de selle. Vu le programme, ça semble opportun.

Ne connaissant pas le détail des côtes au moment de l’essai, je ressens de prime abord selle haute un vélo légèrement plus grand de l’avant qu’habituellement. En terme de reach (487mm), on est dans la bonne moyenne moderne de ce que j’apprécie, mais je me suis certainement habitué à des tubes de selle plus redressés encore, qui projettent plus au centre du vélo.

En descente, rien à signaler, la taille est idéale pour se mouvoir d’avant en arrière. Le S3 me semble vraiment trop petit, pour le programme et mon style de pilotage.

 

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[toggler title= »Au pédalage » ]

La quasi totalité des liaisons sont programmées en télésiège, hormis la première que nous réalisons à la pédale sur piste large jusqu’au sommet du bike-park.

Une montée roulante de 45min qui permet de mettre en exergue les qualités de ce Specialized Enduro. Amortisseur ouvert, la suspension reste active, confortable aux petits chocs tout en offrant une belle prestation au pédalage pour ce genre de gros vélo.

En relance en spéciale, j’ai particulièrement apprécié l’aptitude du Specialized Enduro à pouvoir pédaler partout. A aucun moment, on tape les manivelles. On relance en toute sérénité, sans pour autant être haut perché.

 

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[toggler title= »Quand il faut lâcher les freins » ]

Dès les premiers hectomètres, le Specialized Enduro nouvelle génération parait rigide, vif, peut être un poil trop pour moi. Sans pour autant par ailleurs mettre en défaut le grip.

Restant relativement haut dans le débattement, il demande à ce qu’on lui rentre dedans. En freinant quelque peu les détentes avant/arrière, son comportement se bonifie au fil des runs.

Lorsque le rythme augmente, le vélo en redemande, c’est un rail, qui a la capacité d’encaisser les chocs tout en maintenant sa vitesse.

Le vélo confère la sensation paradoxale de rester assez haut dans le débattement, tout en offrant un confort « canapé ».

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Qu’en penser ?!

Specialized revient sur le devant de la scène Enduro de belle manière, avec de l’audace. En soi, le pari me semble réussi, le vélo fait envie, c’est proprement réalisé.

D’autant que sur le terrain, ce nouveau joujou concrétise aussi ses promesses. Ça pédale, c’est dynamique, ça encaisse, malgré des choix plus que osés sur le papier. 

Reste à confirmer ces bonnes premières impressions « à la maison », sur du plus sinueux, moins rapide, beaucoup plus engagé… Bref, on sera amené à en reparler !

 

La gamme Enduro 2020

Enduro S-Works 29 – 10999€

 

Enduro Expert Carbon 29 – 6999€

 

Enduro Elite Carbon 29 – 5999€

 

Enduro Comp Carbon 29 – 4999€

 

Kit cadre Enduro S-Works 29 – 3999€

Rédacteur en Chef
  1. Mouais, j’adore vos articles et je trouve vos analyse toujours très pertinentes, MAIS dès que vous tester un spé (et vos confrère aussi d’ailleurs) tout de suite tout est beau, ils révolutionnent, c’est les « meilleurs » !
    Et ça ça m’agace, car quand on regarde ce bike, ils ont surtout suivi ce que de nombreuses marques ont initiées depuis quelques temps et pour des prix stratosphériques au vu des équipements.
    Alors certes le vélo est beau, il marche surement très bien (à 10000€ heureusement), mais franchement en faire autant pour cette marque à chaque fois qu’elle sort un bike je trouve pas ça super pro !

      1. J’ai lu l’essai du Stump Evo, à par dire qu’il est inconfortable, le reste est plutôt élogieux pour ce vélo.
        Le problème de mettre les nouveautés de chez Spé toujours sur un pied d’estale n’est pas propre à Endurotribe mais à la presse spécialisé en générale.
        Cela vient surement du fait que Spé est extrêmement bon en marketing et fait croire à tout le monde qu’ils révolutionne toujours tout !
        L’article reste très bien rédigé et j’espère que si un test longue durée est fait, il sera dans la lignée de ce que l’on a l’habitude de lire sur Endurotribe.

    1. Pour qu’ils n’achètent plus, il faut que les médias soient objectifs et ce n’est pas du tout le cas.

      Quand plusieurs médias disent du bien d’un vélo plus qu’un autre , le consommateur est plus tenté de prendre celui qui est bien noté ( en effet chacun d’entre nous avant d’acheter comparent les tests sur internet comme tout produit )

      Les marques sont très conscientes de cela et mettent tout en œuvre pour leur produit soit bien noté dans les médias ( bannières publicité, press camp, invitation en avant première du produit….) . C’est pour cela qu’entre les marques et les medias , une certaine connivence s’est installée et ils se connaissent tous car le monde du VTT est petit.

      1. Toutes les « grosses » marques font des « press camp » et ce n’est pas pour autant que les médias se veulent plus dithyrambiques concernant les modèles présentés…
        A contrario, j’ai souvenir de certains articles/essais concernant des marques plus exotiques ou confidentielles (c’est au choix) se voulant bien plus élogieux, alors que la dite marque n’avait pas sortie l’artillerie lourde (Transition sentinel ou Pole The machine, pour citer les articles m’ayant le plus marqués…).
        Ceci étant et à la lecture des différents commentaires, j’avoue avoir bien du mal à comprendre le « spé bashing ». Autant, je peux entendre les reserves concernant la politique tarifaire de la marque, autant les commentaires teintés de théorie du complot/ médias vendus à la solde « des puissants », là j’ai beaucoup plus de mal à trouver un fondement ou une justification.
        Pour conclure, j’ai roulé des spé (stump et enduro), ce sont des vélos qui m’ont toujours satisfaits, tant au niveau terrain, qu’entretien/sav, aujourd’hui (n’étant pas marié ou fan inconditionnel d’une marque), je roule un transition sentinel « grâce » au test et essai d’enduro tribe entre autre…

  2. En espéranto jambon se dit « ?inko », et vache à lait se dit « lakto bovino » (ça s’est pour Specialized).
    Et voyage de presse tous frais payés par la marque on dit ça comment : publico reportajo ?
    On crache sur les potos mais pas dans la soupe
    :-))
    Allez, à bientôt sur les vojos 😉

    1. Chaque présentation d’un nouveau vélo que tu lis sur n’importe quel site à un point de départ : une présentation presse, dans un endroit souvent idyllique pour faire du VTT ! Donc, là, tous les médias sont invités pour découvrir la nouveauté.

      Avec un tel raccourci, tu ne lis que du publi-reportage 😉

    2. Et oui, parce-que c’est sur que Vojo (et Enduro-MTB, et PinkBike, et VitalMTB, etc, etc…) n’ont eux pas été invités en voyage de presse tous frais payés par Spé…

    3. Les médias invités pour essayer le vélo ont la plupart eu le voyage et la bouffe offerts par la marque. Ces journées presses sont connues et utilisées comme moyen de marketing par toutes les marques pour « influencer » les médias afin qu’ils disent du bien de leur produit. C’est une publicité pour la marque donc elles mettent les moyens ( cadre idyllique, voyage offert…). C’est pour cela qu’aucun media VTT n’est totalement objectif . Celui qui osera dire du mal du produit testé ou osé dévoiler le produit sans l’accord de la marque ( spychot) est automatiquement Blackliste. Tout est orchestré par la marque (fuite, date de présentation de l’article au public …) et les medias doivent s’y soumettre sinon plus d’invitations au camp presse… Lol

      Endurotrive est encore moins objectif car il entretient un lien très intimeavec Greg Noce qui fait partie de l’équipe d’endurotribe (wilfdrak) et est en même temps ambassadeur officiel de Specialized et dont son frère était responsable de la communication de Specialized pendant des années ( depuis parti chez Moustache). Donc le mélange de conflit est bien réel et on comprend pourquoi peu de cri. quand je lis les premières phrases de l’article, c’est se foutage de gueule.

      1. Cher Marc, non justement on ne prend pas nos lecteurs pour des zèbres, on les respecte comme évoqué en intro, en ne jouant pas le jeu du pseudo spyshot… Et ce pour la bonne et simple raison que l’on a roulé ce vélo il y a deux mois… Bref. Jouer ce jeu c’est faire du buzz, pas du journalisme et davantage de pub à une marque, qui pour le coup, prend aussi un peu les médias pour des cons en faisant volontairement fuiter le vélo… alors qu’elle a fixé une date d’embargo ! Que l’on respecte. Ça vaut pour Spe, ça vaut pour d’autres. Quant à notre manque d’objectivité supposé, tu n’es pas franchement obligé de nous lire ci ça choque… Mais par contre, c’est notre côté maso certainement, on te laissera toujours le droit de t’exprimer en commentaire sans te bâillonner.
        Par ailleurs tu sembles bien mal nous connaitre. Tu mélanges tout. Et applique toi un peu c’est incompréhensible à lire. Endurotribe est une société de médias, alors que Wildtrack est/était une société d’événementiel. Durant 3 ans et jusqu’en 2012, Greg (qui est un ami) a réalisé des essais pour nous (pas de Spe bien évidemment) et les réalisait bien. Et si ça avait posé des problèmes d’objectivité aux marques, on l’aurait su. Bizarrement on était ultra sollicité. 😉 Depuis, avec les nombreux événements qui ont suivi, Greg Noce est devenu le directeur sportif de nos événements. Il était associé jusque là sur la partie événementiel. A aucun moment sur l’aspect rédactionnel. Depuis peu, nos activités sont regroupées sous l’appellation troisixmedia (Endurotribe + Wildtrack) et c’est du 100% Mme et Mr Chevat. Avec des activités suffisamment importantes qui nous permettent fièrement aujourd’hui de faire travailler/vivre (modestement) 7 à 8 personnes. Voila tu sais tout ou presque. Ah si, j’ai pleins d’autres amis dans la vie, y compris dans le milieu. L’actuel directeur Marketin’ de Moustache en fait partie.

  3. C’est bon, j’ai décapsulé une biére et ouvert un paquet de chips, comme d’hab, quand spé sort un nouveau vélo, je me régale des commentaires…

    1. Je m’en délecte aussi et j’aurais pu les prédire :
      – « C’est Spé donc c’est toujours tout beau… »
      – « Vous êtes invités à l’autre bout de la terre donc c’est un publi-reportage »
      – « Put*** mais c’est hors de prix !! »
      – « J’ai pas essayé, mais bordel c’est trop long ! »

      1. Tom,
        C’est quand même une sacrée nouveauté cette gamme de prix même si spé a toujours été un peu cher, là on franchit un sacré gap.

        Perso j’en suis a mon cinquième spé, mais là je crois que je vais aller voir ailleurs, et pourtant j’aime bien leurs vélos mais trop c’est trop. J’attendais le nouveau pour renouveler mon sworks de 2017, tanpis.

        1. C’est vrai que pour le coup, ça pique !
          Le prix est un aspect personnel qu’on ne peut pas juger, mais je pense qu’on a largement atteint les limites depuis longtemps…
          Les marques qu’on décrivait comme exotiques et chères il y a quelques temps deviennent maintenant beaucoup plus accessibles que les grandes marques !

  4. Je prédis que nous en croiserons encore moins sur les sentiers..
    – il est moche
    – il est plutôt super cher
    – même si Spé avait trouvé le graal de la suspension, pour moi cet architechture avec l’amortisseur en bas et les billettes de suspensions/roulements qui se prennent toute la boue/cailloux c’est rédhibitoire

  5. ouai bof, comment dire ?
    en fait je sais pas trop quoi en dire de ce bike. Avec un reach de 487mm 63.9° pour l’angle de direction. Est ce qu’un poirot d’enduriste comme moi peut exploiter et prendre du plaisir sur un bike comme ca ? Je me dis dis qu’il faut un super niveau technique, physique et beaucoup d’engagement pour exploiter le potentiel du vélo, ou pas !!! a qui s’adresse ce vélo? top pilote EWS ou enduriste lambda ? Rocky mountain avec le nouveau slayer adopte la même philosophie du moins en ce qui concerne les chiffres de la géometrie 170 de débattement 63.8 ° pour l’angle de direction… mais spe a encore beaucoup d’avance au niveau de la com et de la pub.

    1. Peut etre que la gamme vraiment enduro des marques devient plus « élitiste », vraiment dédié a la compétition et/ou a aller vite. Et c’est peut etre pour cela que les gamme plus all moutain a la base (stump, occam, nouveau Santa HT) s’endurisent un peu por justement combler ce trou pour les enduristes lambda ?

        1. Ce qui n’est pas le cas du Stump’ « tout court ».

          L’enduro devient (enfin… a toujours été… parlez-en à Andreu Lacondeguy ^^) un type de compétition, et les vélos suivent le mouvement. Tout comme rouler un dirt ou un DH en dehors des pistes adaptées sera plutôt ennuyeux (ou difficile), l’enduro prend cette voie. Des machines de guerre en descente, capables de monter sans trop se cramer. Et si tu ne roules pas vite et sur des terrains défoncés et avec un minimum de pente, et bien tu t’ennuies, ou pire tu galères.

          Le all-mountain est (et a toujours été, sauf qu’à l’époque c’était un XC avec un peu plus de débattement, chiant à descendre) la « vraie » gamme du pratiquant de VTT, pas forcément compétiteur. Même si cette gamme peut faire des merveilles pour qui sait l’exploiter (Jared Graves il y’a quelques années, Alex Rudeau plus récemment concernant le Stump’), ce n’est pas pensé pour la compèt’ enduro.

          1. Merci pour ce commentaire pertinent ! L’Enduro a effectivement deux visages actuellement : quelques courses sont plutôt engagées et demandent de gros vélos, et d’autres courses le sont moins et rendent des vélos de AM actuels véritablement suffisant, comme pour rouler à la maison les 3/4 du temps !

  6. On y est presque! Ca y est, les grandes marques font aussi des cadres assez longs maintenant. Par contre les progrès sont timides sur l’angle de tige de selle. Sans ça je m’en serais bien pris un. Allez, encore 4-5 ans et on y sera!

    1. Ce serait bien que les marques laissent un VRAI choix sur les longueurs de vélo quand même… 437 pour le plus court, il y a 4 ans, c’était du xl… et on apprécie pas tous d’être étiré entre les points d’appui.

      1. Oui, mais il y a 4 ans : les tubes de selle n’étaient pas si redressés, les cinématiques n’étaient pas les même, les hauteurs de boitiers non plus, etc.
        Dans l’absolu ce n’est pas comparable et encore moins sur le papier !
        Le Stump’ EVO reprenait déjà des valeurs de reach importante et pourtant il ne paraissait pas grand. Il restait maniable, manoeuvrable facilement ! https://fullattack.cc/2019/05/verdict-essai-du-specialized-stumpjumper-evo-comp-29/

        1. ça c’est du pipeau: il y a 4 ans je roulais un ion avec le boitier à 335mm de haut pour 160 mm de débattement avant / arrière… quand au stumpjumper evo 27.5, 465mm de reach pour le vélo le plus court, à part avec une potence à 0, je vois pas comment je peux piloter ça… à un moment, si tu n’arrives pas à atteindre le guidon quand tu est debout pour piloter, il y a quand même un défaut dans l’énoncé…

          1. faut quand même préciser qu’il n’y a que deux tailles sur le stump Evo… donc forcément ça ne peut pas coller à tout le monde. Sur l’Enduro il y en a 4…

    2. Effectivement l’angle de tube de selle est dans la moyenne actuelle. Cependant, il ne faut pas oublier qu’un angle trop redressé peut aussi devenir handicapant : être trop en avant du boitier est inconfortable et contre productif !
      Je ne dis évidemment pas que la moyenne actuelle est l’idéal, je tend plutôt à penser qu’on doit forcément y aller étape par étape parce qu’un vélo c’est un ensemble ! Qu’on ne peut d’ailleurs pas juger sur le papier… 😉

      1. @Tom: c’est le genre de discours qu’on entendait sur les longueurs de cadre. A chaque nouvelle version « ouais on ‘a étendu mais on peut vraiment pas aller plus loins bla bla c’est pas bien ». 3 ans plus tard, le nouvaeu modèle fait 30mm de plus en reach sur chaque taille…
        Tu peux m’expliquer en quoi ce serait contre-productif de se rapprocher de la vertical du boitier de pédalier? Evidemment je ne dis pas d’y être dans une configuration de montée parce qu’on aurait vraiment une drôle de géométrie sur les plats. En tous cas je prends le pari que dans 5 ans tout le monde est au delà de 78°. Il y a 3 ans je débattait d’avoir plus de 500mm de reach pour quelqu’un de plus d’1m80. Mais non, c’était trop! Mais aujourd’hui non. Je sais, les grosses marques sont frileuses et c’est pas d’elles qu’on doit attendre qu’elles aient une vision du sport. Oui je râle un peu mais je sais aussi que tout bouge enfin dans la bonne direction (enfin sauf les prix) et qu’on a un super choix de bon vélo.

  7. salut
    révolutionnaire?mon TR250 de 2011 à la meme suspension arr ,visuellement c’est bien moins « mastoc »que le spé et ça fonctionne tres bien.
    joli bike,mais les prix????????

    1. @lionel,
      Pour la suspension rien à voir, le tr250 c’est une biellette /basculeur, le fsr de spé du horst donc rien à voir.
      Pour ce qui concerne le tr250, en ce qui me concerne j’ai un tr450, pour ma part le pire Bike de dh que j’ai pu rouler en terme de suspension !!!!
      Comme quoi les goûts et les couleurs….
      Comme je ne suis pas rancunier, je roule actuellement un sentinel, j’ai roulé beaucoup de spé, je voulais un peu changer et je roulerai sans doute dans le futur de nouveau avec un spé.
      A y regarder de plus près, la gamme /tarif n’ai pas su incohérente que ça… santa cruz est sur les mêmes registres de tarif à la différence que dès l’entrée de gamme spé propose un cadre avec le carbone fact11…
      Après, en effet on n’est pas sur les tarifs du vpc, mais bon en terme de finition et de sav, c’est pas la même…

  8. Specialized Enduro, la lumière au bout du tunnel ?!
    C’est le titre de votre article et pour moi à la lecture des différents articles, des caractéristiques, du look, des prix, de la géométrie, des caractéristiques, je ne vois pas pourquoi il verrai cette lumière.
    Il n’apporte rien de mieux que les autres voir moins (son seul véritable plus, c’est son « coffre » …) et a toujours des prix stratosphériques.
    A part les sponso et les aficionados de la marques, je ne vois pas pourquoi il se vendrait particulièrement bien alors qu’il y a mieux et moins cher dans pleins d’autres marques.
    Même si on me proposait le Sworks à 6000, sauf pour le revendre, je ne suis pas sûr de le prendre.
    Pour moi, le seul véritablement intérêt ça serait de prendre le kit cadre (couleur original et sympa), pour faire un montage perso.
    Après, la diversité c’est cool, donc si certains veulent l’acheter, libre à eux

  9. Hello pour moi la vraie révolution serait un enduro en 29/27. Je dis ça je dis rien. ? Après des gammes entièrement en carbone ça rend la marque élitiste. Après pour la géométrie faut essayer…
    Chacun ses goûts donc mais je pense que les marques en vente directe ont de beaux jours devant elles.

    1. Hello David, C’est vrai qu’après avoir franchi le cap en coupe du monde de DH, il aurait été sensé de franchir le cap en enduro mais non, même s’il faut bien prendre en compte les délais de développement et de production. Ca aurait valu le coup, en particulier pour raccourcir leurs bases à 442 mm qui sont beaucoup trop longues et qui sapent les bases courtes que Spe avait commencées avant tout le monde et qui donnaient le caractère fun qui a fait la réputation de leurs VTT.
      En tout cas, dès début 2015, il existe ça en roues 29/275,5 :
      https://fullattack.cc/2017/05/dans-les-tuyaux-essai-du-ace-wit-297-joker-e160/
      https://fullattack.cc/2017/06/verdict-essai-du-ace-wit-297-joker-e160/

  10. Non mais les prix… ca devient délirant… J’ai beau avoir un peu de tune, là ça devient du n’importe quoi! Et c’est pareil avec les VTT AE, 8000€ le Moterra, 12000€ le Spé Levo S-Works… 8300€ l’expert… Je pense que je vais arretez la course à l’armement, me prendre un Commencal Meta HT en 29, avec un petit montage à la carte, et même sur du haut de gamme on sera à peine à 3500€… Ca devient du délire, mais vraiment!

    1. c’est vrai qu’un commencal Hardtail a 3500 euros c’est pas du délire… cette vanne va me faire la journée…

  11. Pas mal ce nouveau spé j’aime bien le style c’est propre c’est net c’est du spé quoi du moins sur le papier il a l’air d’en promettre par contre je crois que je serais définitivement jamais client chez eux vu les prix qu’ils pratiquent et leur volonté a faire de l’élitisme en ne proposant même pas de cadre alu pour des budgets plus raisonnable mais après je peux comprendre c’est un choix commercial.
    Par contre en terme de nouveauté récente je trouves bien plus intéressant techniquement parlant le dernier Lapierre Spicy !

  12. Bonjour,
    Mis à part les prix, je pense que Spé à une nouvelle fois sorti un bon bike pour de l’enduro. Mais est ce qu’une version alu est au programme, ce qui permettrait de baisser le budget? Je pense que l alu peut être encore très bien pour les pratiquants qui se fichent du poids et qui veulent simplement un bon bike avec une bonne géométrie pour pouvoir monter en haut de la montagne et la descendre avec le sourire.
    Pourquoi ne pas présenter aussi des nouveaux bikes dans le même registre que cet Enduro mais 2 fois moins chers car en aluminium comme, le GT Force 29, le Rocky Mountain Slayer et le Cube Stéréo 170, et qui permettent de faire autant de choses que l’Enduro sans être obligé de faire un crédit sur 5 ans?.

  13. Ouah!!! Quelle régalade ces commentaires: démagos, populistes, complotistes, dentistes etc Il y a en pour tous les goûts!

    Je vais vous simplifier la vie car compte-tenu des offres actuelles, il est aisé de trouvé un bon bike car il n’y a PLUS de vrais mauvaises machines depuis quelques années déjà!

    1 Ta discipline (Enduro (race ou Double Black trails) ou All Mountain
    2 Ton budget
    3 Ta marque fétiche ou ton modèle « coup de cœur »

    Voilà c’est pas plus compliqué que cela!

    Morale de l’histoire: En attendant le Bonheur, vis heureux!

    J’aime regarder les Ferrari même si je n’ai pas les moyens de m’en payer une! Et non je ne le vis pas comme une injustice même si j’ai une conduite sportive qui pourrait coller à de telles machines…

  14. Je vois des commentaires de personnes s’acharnant sur la redac d’EnduroTribe et critiquant les prix pratiqués par Specialized…
    Alors que ça n’a pas lieu d’être.
    On à affaire à un marché où l’offre s’élargit, certaines marques font le choix de proposer des vélos premium / haut de gamme et d’autres des vélos financièrement plus accessibles.
    Sous prétexte que les vélos sont chers, on ne peut pas jeter la pierre à Specialized.
    La marque ne s’adresse tout simplement pas à l’ensemble des enduristes mais bel et bien à un type de personne prêt à payer un tel montant et dont les attentes correspondent à ce type de modèle. Comme pour tout marché il y a une offre premium et une offre low-end.
    Ceux qui critiquent devraient passer leur chemin, ce vélo ne vous est tout simplement pas destiné (Désolé de vous apprendre que le haut de gamme sur le marché de l’enduro ne vous est plus accessible). Je pense que vous ne critiquez pas les marques de voiture « luxueuses » car leur offre est trop »chère », il en est de même pour le vélo.
    De plus Endurotribe ne fait qu’informer les lecteurs de ce qui se passe sur le marché, de manière objective (et oui .. prouvez moi l’inverse), merci à eux pour le traitement de l’infos qui reste à mes yeux impartial.

  15. Il me semble que Spé a un gros boulot à faire pour redorer son image, du moins sur le marché de l’enduro et quand je vois qu’un pote n’arrive pas à revendre un sworks nickel de moins d’un an alors qu’il en demande une misère il faudrait qu’il revoit leur politique tarifaire.
    Mais bon, le marché français, ils n’en ont sans doute rien à faire.
    Ce nouveau enduro n’est pas moche, ne marche visiblement pas mieux que les autres mais est très cher, donc ça semble compliqué. Et je trouve ça dommage.
    Pour ce qui est de crier au complot, c’est un faux procès. Même dans cette présentation, ils ne sont pas dithyrambique.

  16. Oula, ç est la guerre des boutons!!!?

    Perso, je préfère rester sur du rationnel et ne pas rentrer dans le debat « mais si ils disent du mal ils seront plus invités aux essais… » bein ou « mais moi je sais qui couche avec qui » donc ç est nul… lol.

    J’en reste sur des faits et me demande qu’en est il du poids? Parce qu’on connaît tous la capacité de spé à vendre du velo plus cher pour plus lourd et moins bien équipé mais ils auraient changés ou sont toujours en train de surfer la même vague du « notre marketing et notre notoriété historique nous permet de vendre moins bien à plus cher… benef…benef… » alors qu’en est il svp?

    À défaut d’avoir un paragraphe « est ce que ce les vaut » les milliers de DOLLARS? ?

    Vous me direz si vous êtes d’accord avec moi, mais ces dernières années ç est plutot leur Politique commerciale qui a fait chuter leurs ventes que le foirage de l’ancien stunt.
    Conjoncture économique particulière en france et Europe donc on compare à armes égales nous les acheteurs, et quand on voit la capacité de certaines marques à faire du tout carbone super équipé à 4000 boules bein ç est clair qu’ils se vautrent.

  17. un vrai régal tous ces commentaires …..oui un Specialized peut paraitre cher par rapport à certaines marques mais pourquoi faudrait il cracher dessus … Si certaines aiment cette marque et ont les moyens de rouler dessus , tant mieux pour eux .Il en faut pour tout le monde . Y a gens qui achetent des Apple à 1400€ et d’autres des Huawai …et la finalité est la meme prendre des photos et téléphoner donc …

    Oui certains médias sont invités pour aller au présentation de nouveaux produits et doivent respecter les embargos et c’est pareil pour les magasins qui doivent aussi respecter les embargos …ce sont les régles du jeu . C’est comme ça dans tous les secteurs d’activité car avec le net , tout va vite dés qu’il y a une fuite …

    De toutes façons le marché de l’Enduro devient de plus en plus un marché de niche car le VTTAE est son concurrent principal et acheter un vélo en 170mm de débattement et pouvoir l’exploiter est donner pour une clientèle vraiment infime …

    En tout cas ce nouvel Spe Enduro est vraiment réussi .

  18. Concernant le prix, je me pose la question de qu’est-ce qui fait monter l’addition si haut ? est-ce que le vélo à nécessité un énorme développement R&D ? est-ce que sa fabrication est coûteuse ? est-ce que la marque cherche à se positionner uniquement sur du haut de gamme quasi inaccessible ?
    Pourtant autrefois Specialized était plus grand public il me semble.
    Je me pose ces questions car du coup j’ai acheté un YT à 4000 € (ce qui représente déjà une belle somme) avec un équipement proche des hauts de gamme Spe…

    1. Lew salut,
      Beaucoup ce pose la question.
      Pour moi, c’est principalement un positionnement tarifaire
      Les périphériques sont commun à tout le monde et j’imagine que Spé est capable d’avoir des tarifs au moins du niveau d’YT et sans doute mieux vu les volumes plus importants qu’ils ont.
      Le coût des cadres doivent être guère différent, même si on peut imaginer quelques différences suivant selon la nature des fibres, vu qu’ils sont fabriqués globalement aux mêmes endroits.
      De la R&D, YT ou consort en fond également mais Spé est sans doute plus staffé ???
      Le mode de distribution différent peut expliquer un surcoût.
      Cependant, quand je fais le bilan, la seule explication concernant des écarts aussi important est un choix de positionnement tarifaire.
      Il y a quelques années j’avais lu que des marques comme APPLE ne déterminaient pas leurs prix de vente par rapport à leurs coûts de revient mais par rapport à des études qui estimaient le prix que les acheteurs étaient prêt à mettre pour avoir leurs produits …

  19. Bonjour, je réfléchis à un montage perso sur base de kit cadre sworks. Que pensez vous d’une association avec des roues santa Cruz reserve ?
    Merci

    1. Bonjour Jean,

      dans la mesure où Specialized souhaite et réussi plutôt bien à maitriser la raideur du cadre pour éviter d’en faire un bout de bois, et que les Santa Cruz Reserve ont cette même réputation, le montage peut avoir du sens. Dans le même esprit, les Zipp 3Zero Moto peuvent aussi enter dans le jeu.

  20. Les Zipp 3Zero Moto sont une bonne idée, elles sont esthétiquement très plaisantes (pour les avoir vues en vrai sur le vélo de Clementz), en revanche je ne trouve aucun test terrain. As-tu pu les rouler ?

    Concernant la garantie de ce que j’ai pu trouver, et à l’inverse de Santa Cruz pour les Reserve, Zipp ne garantie par contre la casse lors d’un choc. Tu confirmes ?
    A ce niveau de prix la garantie Santa parait intéressante.

  21. Bonjour l’équipe, merci pour cet article des plus intéressants ! Avez-vous une idée si ce nouveau enduro (avec sa géométrie plutôt couchée) pédale mieux ou moins bien qu’un canyon torque ? Je souhaiterais savoir lequel est le plus polyvalent des 2.
    Merci et continuer comme ça, c’es top

  22. Hello,
    Merci pour votre reportage et tiens à préciser certaines choses vis-à-vis des remarques détestable que j’ai pu lire sur SP.
    Le marché du VTT, est pour tous clients à tous budget au même titre que de la moto pour une sportive genre Ducati V4R suppelegerra qui a Oise les 110’000€ avec un comble d’être pas homologuer à rouler sur circuit car trop bruyant.
    Concernant Spé, et aillant un Spé turbo levo expert 2019, et deux autres bikes dont un fuel ex 9.8 et un slash 9.8 je peux garantir que Spé n’a pas du tout la même finition que Trek car elle est bien meilleure et ma réflexion actuelle car pas plus enchanté que ça de mon slash, et bien, je me dis qu’un montage à la carte me semble une meilleure idée et j’avoue que le Spé enduro me dis vraiment bien car je souhaites pas faire des frais pour améliorer mon slash du fait qu’au final il me reviendrait au même prix qu’un enduro expert.
    J’ai quelques questions, qui m’interpelle !
    – je pratique de la randuro, souvent des montées autour de 1000/1500D+, et ensuite, single, à fond, est-ce que ce bike pourrait convenir à ce genre d’utilisation ?
    – je trouve pas d’info sur son poids en version S-work !
    – pour les tailles, je suis perdu, je mesur 1m80 pour 80kg.
    Apparement, ce qui me conviendrait est le S3, et si je veux quelques chose de plus jouer, ce serait le S2, mais est-ce que dans mon compromis randuro le S3 serait pas mieux ?
    Emerci pour votre retour

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