Rouler en pédales plates, libre comme l’air…

Quoi de plus tendance que les pédales plates en Enduro ? Depuis la victoire de Sam Hill sur les EWS 2017, tous les doutes et toutes les certitudes sont remis en cause. Mais Sam n’est pas le seul à faire parler la poudre en pédales plates : Josh Bryceland, Craig Evans, James Hall sont d’autres bons figurants au classement EWS qui préfèrent les picots aux verrous !

Alors, comme c’est l’hiver, et que c’est le moment d’essayer de nouvelles choses, Endurotribe s’intéresse au sujet mais sous une vision globale : parler de pédales plates mais à la condition de parler aussi des chaussures qui vont avec ! Ce (gros) dossier se veut à la fois, informatif et didactique, expérimental puis préconisateur et astucieux !


Au sommaire :

Pourquoi les pédales plates ?

Aussi adulées que controversées, les pédales plates font couler beaucoup d’encre depuis leurs heures de gloire en DH. Qui n’est jamais tombé à cause d’un déclipsage impossible en pédales automatiques ? Voilà tout l’intérêt des pédales plates : libre comme l’air, aucun pied n’est fixé aux pédales et sortir le pied devient plus rapide et plus aisé. La confiance règne et elle est l’atout majeur des pédales plates.

Qui n’a jamais entendu dire que l’on doit toujours apprendre à faire du VTT en pédales plates ? Mais qui n’a jamais aussi basculé très – trop – rapidement vers les pédales automatiques pour faire comme les grands ? Effectivement, pour l’apprentissage, les pédales plates sont un must. Elles apprennent à faire corps avec son vélo sans y être attaché. Les premiers bunny hop en plates sont riches en émotions ! La confiance qu’elles procurent permet quelques folies de débutant, même si nos tibias se souviendront toute leur vie de nos débuts en VTT.

Mais il nous est impossible d’aborder le sujet des pédales plates sans évoquer les chaussures, qui ont certainement un rôle tout aussi important ! Auquel cas, seule la moitié du problème serait résolu…

Relation fusionnelle, mais agressive !

Comment donc parler des pédales plates, sans aborder le choix des chaussures ? Ce serait comme parler de pneu sans évoquer le terrain. Un non-sens : l’un ne va pas sans l’autre !

Le cramponnage de la semelle, la dureté de la gomme, l’épaisseur, la rigidité, etc. peuvent être des caractéristiques toutes aussi importantes que le type de picots, leurs longueurs, la taille, la forme de la pédale, etc. Comme une paire de chaussures ou une paire de pédales isolées ne fait pas tout, et avec autant de spécificité, il est important de tenir compte des 2 produits lors du choix à l’achat. C’est le combo qui compte !

Ainsi, comme leur relation est fusionnelle, un état des lieux des chaussures ET des pédales actuellement disponibles à la vente s’impose.

Etat du marché

Actuellement beaucoup de marques proposent des pédales plates dans leur catalogue. Il en va de même pour les chaussures. Pourtant les choses évoluent doucement, les gammes sont rarement renouvelées, mais quelques perles rares existent déjà.

Pour réaliser cette enquête, nous avons, avant toute chose, sélectionné un panel de pédales et de chaussures représentatif du marché. Des pédales larges, des moins larges mais plus fines, des plates et des plus concaves, avec des picots fins, d’autres plus gros voir spécifiques. Idem pour les chaussures : semelles souples ou plus rigides, gomme tendre ou plus dure, etc.

Aussi, il est évident qu’on ne peut pas passer à côté de certains modèles, par expérience comme par réputation. Les chaussures FiveTen, connue pour avoir révolutionné le marché il y a une quinzaine d’années. Et, les pédales Nukeproof, victorieuses sous les pieds de Sam Hill en EWS, ou encore le combo Specialized, première marque à développer pédales et chaussures ensemble…

Enfin, nous avons mis tout ça à l’épreuve du terrain ! Trois à quatre mois d’essai, en changeant souvent de chaussures, ou de pédales, par tous les temps, sur tous les terrains. Tour d’horizon des caractéristiques de chacune…

Les caractéristiques des pédales

Les critères à prendre en compte sont nombreux et déterminants. Mais ici, le compromis est l’ennemi du bien. Le choix doit aussi se faire selon la paire de chaussures qu’on y associe.

Surface de la plateforme

Elle influence la stabilité du pied, elle se ressent à l’appui. La sensation d’être stable donne confiance à condition d’avoir une chaussure au moins aussi large que la plateforme pour en tirer pleinement profit. Dans ce cas, les largeurs de plateforme différentes pour les différentes tailles de chaussures sont une bonne option.

Concavité de la plateforme

Elle permet de coincer la chaussure entre les 2 rangées de picots avant et arrière. Elle améliore fortement le grip à condition d’avoir une chaussure avec une semelle suffisamment souple pour se déformer. Les pédales très concaves peuvent être très fines au centre et plus épaisses sur les bords avant et arrière. Attention alors aux données des fabricants, la pédale peut se montrer très fine sur le papier mais beaucoup moins en réalité !

Diamètre des picots

Il agit sur la pénétration du picot dans la semelle, et donc le grip. Il influence aussi énormément le choix des chaussures. Des picots fins conviennent avec tous les types de semelle tandis que des picots plus gros ne pénètrent bien qu’avec des semelles molles ou n’accrochent qu’avec des semelles très cramponnées.

Longueur des picots

Elle influence la qualité du grip, trop courts ils ne pénètrent pas assez dans la semelle, le grip n’est pas suffisant. Trop longs, ils augmentent l’épaisseur globale de la pédale sans améliorer significativement le grip.

État de surface des picots

Dans une moindre mesure, les picots filetés ou crantés améliorent le grip, une fois plantés dans la semelle ou en butée sur les crampons, ils ne glissent pas sur la gomme.

Épaisseur de la plateforme

Elle influence la stabilité du pied et la stabilité globale. Plus elle est fine, plus elle rapproche le centre de gravité de l’ensemble chaussures/pédales de l’axe de la pédale, plus c’est stable. En abaissant le centre de gravité global pilote/vélo, elle améliore aussi la stabilité générale.

Cependant c’est une véritable contrainte de fabrication. Plus elle est fine, plus il est compliqué de loger l’axe, les bagues et/ou les roulements dans la plateforme. Ce qui engendre parfois un renflement autour de l’axe. Par le passé, certaines marques ont même tenté de supprimer l’axe : Momentum FlyPaper, Tioga MT-ZERO…

Renflement autour de l’axe

Il apparait sur les pédales fines et diminue dangereusement le grip. C’est une surface souvent lisse ou sans picot autour de l’axe et proche de la manivelle qui vient en appui directement avec la semelle. Par condition humide c’est un véritable inconvénient.

Encombrement

Elle est intrinsèquement liée à la taille de la plateforme. Mais soyons vigilants ! On peut simplement croire que, plus la plateforme est grande, plus elle est encombrante et est susceptible d’accrocher les pierres ou les racines qui traînent. Mais l’encombrement dépend surtout de la distance entre l’extrémité de la plateforme et la manivelle, une valeur qui n’est jamais évoquée dans les caractéristiques des produits. Les angles de la plateforme ont aussi leur importance. Une plateforme carrée, anguleuse et imposante est plus susceptible d’heurter les obstacles qu’une pédale plus travaillée, arrondie ou dont l’angle est cassé.

Pédales à l’essai

8 paires de pédales passées au crible :

Galerie Commentée :

Caractéristiques des chaussures

Ici aussi le choix des chaussures ne se fait pas sans tenir compte des pédales. Le fameux combo, qu’il faut toujours garder en tête ! Moins nombreuses et moins perceptibles sur le terrain, d’infimes différences persistent, mais n’en sont pas moins importantes.

Rigidité de la semelle

Elle influence le confort, l’appui, la stabilité du pied et selon les pédales, le rendement. Trop rigide elle n’épouse pas la forme de la pédale, le grip, le feedback – le ressenti – et le confort sont altérés. Trop souple elle se casse sur les bords de la pédale et fait rapidement mal au pied.

Épaisseur de la semelle

Elle influence l’appui et le ressenti. Trop fine elle fait rapidement mal au pied, trop épaisse, on ne sait plus où se trouve la pédale sous le pied. Tout comme l’épaisseur de la pédale, elle joue une rôle dans la stabilité de l’ensemble.

Dureté de la gomme

Elle influence le grip et le rendement. Trop dure elle ne laisse pas pénétrer les picots. Trop molle elle absorbe l’énergie au pédalage, encore plus si l’ensemble de la semelle est mou. Ici, c’est une histoire de compromis.

Hysteresis de la gomme

Plus simplement appelé le rebond de la gomme, c’est le retour en position initiale après déformation. Comme pour les pneus, certains fabricants l’utilise pour influencer le grip.

Cramponnage

Comme la dureté de la gomme, il influence le grip mais d’une manière différente. La dureté de la gomme favorise le grip par adhérence avec les picots tandis que les crampons participe au grip par obstacle, les picots viennent se loger entre les crampons. Ce n’est jamais tout l’un ou tout l’autre, mais souvent l’ensemble des deux qui procure un bon grip.

Chaussures à l’essai

7 paires de chaussures sous les projecteurs :

Galerie Commentée :

L’essai terrain et nos attentes

8 paires de pédales et 7 paires de chaussures à l’essai. Pas moins ! Donc, si mes calculs sont bons, ça fait 56 associations possibles ! Tant de produits et de possibilités demandent rigueur et organisation à chaque nouvel essai. Il a même fallu parfois revenir sur quelques combos pour bien cerner certains aspects.

Tant de sensations subjectives auxquelles il faut associer les caractéristiques des pédales ET des chaussures. Cependant quelque soit le combo, on remarque rapidement que nos attentes sont toujours les mêmes.

Trois notions importantes se démarquent :

Le rendement

Si souvent à l’origine de la controverse au sujet des pédales plates, il semble lié à deux paramètres. Un paramètre physique d’accoutumance : l’habitude de rouler en pédales plates améliore le coup de pédale. Plus efficace avec l’expérience, le rendement est meilleur. En 4 mois de roulage uniquement en pédales plates, j’ai vu la différence et j’ai révisé mon discours à propos du rendement.

Ce dernier semble aussi plus lié à la taille de la plateforme de la pédale qu’à la rigidité de la chaussure. Plus la plateforme est grande, plus elle rigidifie vraiment une partie de la chaussure sous le pied, plus le rendement est bon.

Cependant la semelle de la chaussure a aussi son importance : si elle est molle, elle s’écrase à chaque coup de pédale et engendre une perte d’énergie, donc un rendement, qui, à la longue, est moins bon.

Le grip

Un critère très important pour gagner en confiance quelque soit la situation. Le type de picots, la concavité de la pédale, le cramponnage et la dureté de la gomme entrent en jeu. Mais aucun paramètre à lui seul ne peut-être tenu comme prépondérant ! C’est véritablement une histoire de combo dans ce cas.

Il est aussi important de différencier 2 types d’adhérence : on pourrait les qualifier de grip volontaire et de grip instantané. Le premier est celui que l’on impose et que l’on ressent lorsqu’on est en appui sur les jambes et donc sur les pédales, debout en arrière en descente par exemple. Le second est plus subtil : c’est le grip à tout moment, quelque soit la situation, qu’on y soit préparé ou non, un passage technique à plat où l’on pédale et où l’on n’est pas forcément en appui sur les deux pédales par exemple.

La stabilité

Souvent oubliée ou négligée mais si importante, surtout lorsqu’on débute en plates… Elle permet malgré nos hésitations et nos crispations sur le vélos de garder les pieds sur les pédales.
La largeur de la plateforme de la pédale influence la stabilité latérale, quand l’épaisseur de la pédale influence la stabilité frontale. Cette dernière est perceptible dans les montées très raides. Pas assez stable, le pied se dérobe sur l’avant de la pédale – le centre de gravité dépasse le point de stabilité – et on pose le pied à terre. Suffisamment stable et on passe sur le vélo !

Effectivement nos attentes sont souvent les mêmes. Cependant, elles sont à pondérer personnellement. Lorsque je privilégie le grip au rendement, parce qu’avec l’expérience et l’entrainement mon coup de pédale s’est amélioré, certains privilégieront la stabilité pour apprendre et ne pas perdre les pédales à chaque passages techniques.

Néanmoins le grip reste un critère clé. Un combo qui rend et qui est stable ne vaut rien sans un grip adéquat. Il est donc préférable de pondérer et non pas de supprimer une de nos attentes.

Comment bien choisir ? Les combos intéressants…

Comme nous venons de le voir, il est impossible de choisir ses chaussures sans tenir compte de ses pédales, et vice versa !

Il faut donc comprendre leurs interactions, comme énumérés précédemment, et les intégrer pour choisir. Les caractéristiques de l’une peuvent s’accorder avec les caractéristiques de l’autre, ou pas…

Il nous faudrait plusieurs jours pour tout décrire. Le tableau suivant met en évidence les combos qui valent le coup, et pourtant bien tous différents :

Comme le tableau les met en avant, plusieurs combos se démarquent :

FiveTen/Nukeproof ou Hope

Un must en terme de grip, mais la semelle molle est usante à la longue. Un combo pour ceux qui veulent du grip illimité, qui ont la caisse ou n’attachent pas d’importance au rendement. Les nouvelles Impact Pro, présentées comme plus légères et moins absorbantes, ou d’autres FiveTen, par expérience, pourraient combler ceux qui hésitent encore… Pour certains ce combo peut avoir les défauts de ses qualités : trop de grip ! Alors plutôt choisir les pédales Hope, avec un grip à peine inférieur, elles permettent de repositionner le pied plus facilement. Aussi plus stables et moins encombrantes avec des angles plus arrondis.

Shimano/HT

Le combo le plus polyvalent, du grip grâce à une pédale concave, des picots acérés, et une semelle cramponnée et pas trop rigide. Une valeur sûre pour partir faire du vélo quelque soit les conditions ! Un combo aussi léger, simple, fiable et efficace au pédalage.

Giro/Specialized

Plus cramponnée que la chaussure Specialized, la Giro est très intéressante. Un combo stable grâce à la finesse de la pédale, grippy grâce à une gomme tendre, des petits crampons flexibles et des picots bien pensés. Malgré un gros renflement très proche de la manivelle, qui est parfois gênant lorsque la chaussure est en appui dessus, c’est un combo polyvalent et sûr.

Le tableau met aussi en évidence qu’il n’y a ni combo incompatible ni combo idéal. Actuellement et dans le panel d’essai, il y a toujours un inconvénient aux meilleurs combos que l’on a pu tester…

La décision est prise, le choix du combo est fait. Mais est-il parfait ? Est-il idéal ? Est-il encore possible d’optimiser mon choix ? Y a-t-il des astuces bonnes à prendre ?

Astuces et cheat code

Evidemment rouler en plates ça fait avant tout progresser et délirer mais ça s’apprend. Et là, pas de triche possible ! Cependant quelques astuces sont toujours bonnes à prendre pour en tirer profit au maximum :

  • Enlever les picots centraux : retirer les picots du milieu de la plateforme augmente la concavité de la pédale et améliore grandement le grip, certaines pédales sont même directement conçues sans ces picots « inutiles », comme les Nukeproof, les Hope, les Bontrager et compagnie.
  • Faire en sorte que les picots avant et arrière soient plus longs que les picots latéraux : ceci augmente la concavité et le grip. Les Nukeproof sont livrées dans cette configuration.
  • Enlever les picots proches de la manivelle, au niveau de l’axe de la pédale : les retirer permet de faciliter le repositionnement du pied, ça évite aussi de coincer la chaussure contre la manivelle. Attention, sur les HT il est intéressant de garder ces picots pour éviter que la chaussure glisse sur le renflement. La pédale est déjà suffisamment concave !
  • Chérir ses pédales : vérifier régulièrement le serrage des picots, le frein filet est votre ami pour éviter d’en perdre tous les quatre matins, remplacer les picots cassés pour conserver le meilleur grip possible. Certains modèles de pédales sont montés avec des picots qui ne sont, ni plus ni moins, que de la visserie standard. Libre à chacun d’adapter des picots plus long ou de forme différente 😉

Mon expérience

A mon arrivée chez Endurotribe, c’est un sujet qui me tenait à coeur. Mais pourquoi donc ? Parce que même après une douzaine d’années de pratique, j’apprends encore de mes erreurs.

L’an dernier fût ponctué de maladresse mais riche en apprentissage. Frustré et angoissé par l’impossibilité de déclipser à coup sûr – la faute à une chaussure qui vient buter dans la manivelle avant de déclipser – j’ai fini par basculer du côté obscur. J’ai remis des plates. Pas facile au début physiquement, mais quel bonheur ensuite.

« Une histoire de confiance… »

Tellement plus fun, et confiance retrouvée, ce retour au source n’est finalement pas si obscur que ça puisque j’y vois désormais plus clair ! Maintenant, comme je ne rencontre plus de situation difficile quelque soit le terrain, je n’imagine même plus repasser en clips. Et j’encourage tous ceux qui veulent s’y mettre à essayer sur une assez longue durée et non pas sporadiquement.

J’ai tout de même une remarque personnelle. Il me semble qu’en France les autos ont la vie dure. Alors que les Canadiens et les Australiens, semblent préférer les flats aux clips. La faute à l’image du haut niveau français ? A l’esprit so routard qui règne sur le cyclisme français ? Bref vivement que Bryceland fasse parler la poudre en Enduro en flats, une bière dans le short…

Que retenir ?

Une chose est sûre : rouler en plates, c’est fun mais ça s’apprend. Et, bien choisir ses pédales et ses chaussures est primordial pour ne pas être dégouté du changement de bord.

Bien comprendre l’interaction entre les 2 composants du combo et bien assimiler les caractéristiques aident grandement. Malgré tant de réflexion et d’essai, mes choix restent les miens, chacun recherche son idéal. Les besoins et les attentes de chacun sont particulièrement subjectifs et personnels.

Enfin, à l’issu de cet article, choisir le combo qui répond à nos attentes, semble plus évident. Et comme nous venons de le voir, il n’y a pas qu’une seule solution au problème ! Pour la suite, les commentaires sont ouverts pour échanger et informer 😉

Rédacteur Testeur
  1. Alala l éternel question pédales plates ou pédales automatiques …moi je roule actuellement en pédales automatiques sur mon enduro et je déteste … j’ai beau faire mon possible pour m y habituer mais les sensations sont pas du tout les mêmes…je saute comme un puceau la première fois et les appels contre appels on dirait un paraplégique !!! Les pédales plates c’est la santé à la fin du mois je m en commande une paire pour enfin retrouvé une bonne position …parce que là je me sens pas bien comme si je me forcé à pas avoir la bonne position sur le bike !

  2. Super article. J ai commencé en plates, puis suis passé en auto presque 2 ans mais suis maintenant revenu aux plates.
    Je me sens beaucoup plus en confiance et j ai l impression d avoir gagné en rendement alors que j’aurai parié l’inverse.
    Je ne retournerai pas en auto, je m’éclate en plates.
    Au delà de toute analyse, le mieux est que chacun test les 2 solutions sans ecouter ce qu on conseille aveuglément et se fasse sa propre opinion.
    Une fois de plus, article au top

  3. Merci pour ce test. J’ai une pratique orienté all mountain sur un TR collector SUN 5000 R (il faudra peut-être penser à évoluer un jour car je suis largué par les 29″) mais je lis tjrs vos tests avec plaisir. Autant en route les « auto » ne me dérangent pas, en VTT je n’ai jamais osé franchir le pas par peur de ne pouvoir décrocher à temps …Petite incohérence entre la couleur du tableau et le combo mis en avant (Giro/HT ME05) / (Giro/Specialized). Un petit détail auquel certain accorde de l’importance : il semble avoir quelques différences de poids entre les différents combo.

    1. En fait, pas d’incohérence. J’avais mis les HT en avant avec les Shimano parce que ce combo est génial. J’ai donc décidé de trouver un autre combo intéressant à mettre en avant avec d’autres pédales que les HT. Comme tu peux le voir, les HT embellissent à elles seules beaucoup de chaussures. Les combos classés « performant » sont des bons choix aussi à mes yeux. Ensuite la différenciation tient aux goûts de chacun 😉

    1. Ah je l’attendais, c’est dégueulasse !! Retrouve une paire de Shimano DX, la MILF de la pédale, et tu seras aussi dans ton élément…

        1. Bonjour,
          Merci pour l article très intéressant.
          Ce qu il manque sur ce tableau c’est le type de pratique du vtt.
          Que ce soit de la descente, de la Montagne…..je pense que le matériel doit être different et étudié en fonction de la pratique.
          Je recherche des five ten pour la pratique de vttae sur bitume , sentier, bois, forêts quel modèle serai adapté à cette pratique ?

    1. Bonne remarque même si je ne suis pas du tout adepte de ce type de pédale. Le problème des pédales mixtes, pour garder la même réflexion que l’article, c’est qu’à un moment ou à un autre la chaussure ne convient pas du tout avec la pédale, et vice versa !

  4. Superbe article que beaucoup d’entre nous attendait avec impatience. Très agréable à lire.
    Cependant ce qui me frappe à travers ce lignes et le fait qu’on ne mentionne pas l’impact et l’importance du poids des pédales ni des chaussures. Il me semble que ça reste tout de même un point assez important (?)

    Pour le reste très bon travail et vive les flats

    Cordialement.

    1. Les poids est mentionné dans les galeries. Cependant je n’ai jamais noté d’impact perceptible une fois sur le vélo que l’on pourrait imputer au poids des pédales ou des chaussures. Mis à part les FiveTen Sam Hill 3, qui absorbent beaucoup d’eau et qui deviennent vraiment lourdes lorsqu’il pleut.

  5. Excellent article, vraiment.

    J’ai roulé longtemps en plate, revendiquant la plate devant tous mes amis, puis un jour, j’ai essayé la pédale auto. Et la, je me suis dis, Waou, j’ai l’impression d’avancer tout seul ! J’avais une sensation de puissance, de rendement, de controle impressionnant.

    Depuis, je roule en auto, et en lisant l’article, cela me donnerait presque envie de retourner en plate. Mais j’ai vraiment peur d’y laisser des « plumes » point de vue energie. Surtout que maintenant, je suis amateur de longue distance avec d’importants dénivelé. Qu’en est-il de la pédale plate pour une utilisation sur une épreuve du genre radon Epic ?

    Puis aussi, je me suis quand même pas mal ravagé les tibias en plate…
    Et aussi, une précision/Question: quand ca brasse fort, quand on est vraiment secoué, il y a un certain maintien en auto, quid en plate ?

    Et te remerciant

    1. Je connais plusieurs personnes qui ont fait l’Epic en plates et certains ont même très bien figuré au classement. C’est une question d’habitude et de préférence. Après il est vrai que quand ça brasse fort, on peut perdre les pédales. Mais vu comme les vélos évoluent et sont de plus en plus performants, c’est de moins en moins vrai 😉

      1. Bon, peu de réponse, de commentaires sur le coté longue distance, et/ou pédalage. Plus précisément, un vrai comparatif auto/plate point de vue pédalage. Vous dites tous qu’il n’y a pas de perte de rendement, mais ca manque d’infos, de précision 🙂
        Tom, tu as mis combien de temps à réapprendre a pédaler correctement en plate ? Même sur les longues sorties de montage par exemple ?
        En te remerciant

        1. Au bout d’un mois j’ai retrouvé une bonne stabilité dans les passages techniques en montée, au bout de deux je ne sentais plus la différence au pédalage, quelque soit la longueur et le type de sortie 😉

  6. Très instructif Tom, ça tombe bien mon nouveau vélo est équipé de plates Shimano saint (dommage elle ne sont pas dans le test). Il me reste à trouver les chaussures!
    Je n’avais jamais roulé en plate…à siiiii! à mes débuts avec les cale pieds, mais tu n’étais pas né.

    1. Tu changes de bord dans tous les sens en ce moment, VTTAE, plates ! Comme quoi la sagesse vient avec l’âge 😉 Tu as les nouvelles ou les anciennes pédales Shimano Saint ?

      1. Salut Tom, je possède les anciennes Saint (PD-MX80) et j’aimerai ré-essayer les plates. Tu me conseilles quelles chaussures pour un bon combo ?

  7. Salut,

    J’ai commencé le VTT « all-mountain » en auto. J’ai donc acquis toute ma technique ainsi et j’ai surement pris de mauvaises habitudes. J’ai aussi un petit VTT de XC que j’utilise pour le velotaf et le voyage et celui ci est en plate sur lequel j’ai vraiment de bonne sensations lorsque je m’aventure sur du petit single gentillet. Je suis partie une fois en voyage en auto et pensais que sans elle je n’aurai pas pu passer certains coups de cul et en fait non. J’ai fait l’expérience l’année dernière de bien belles côtes avec remorque chargée, en plate. En plate j’ai vraiment la sensation d’avoir un bien meilleurs contacte, surtout quand on passe sur l’angle. J’ai l’impression de mieux pouvoir tenir la posture, de sortir les fesses à l’extérieur du virage. Par contre je ne sais pas ce que ça peut donner sur du vraiment cassant. Mais ce que je me dis c’est si on n’arrive pas à garder le contacte dans ce cas la en plate, c’est que c’est la pédale qui fait le boulot et pas notre principale élément de suspension: Les jambes!

    Tout ça pour dire que ça me motive bien à « claquer des thunes » pour m’équiper correctement en plate et trouver d’autres sensations. Bien joué. Joli coup de com’ 🙂
    Blague part ça sécurise un peu mon choix pour un combo polyvalent qui permet d’encaisser le portage la caillasse et les longue montée au train sur piste.

    1. En voyage je préfèrerais les plates, plus confortables lorsqu’il faut marcher, se promener dans un village, etc. Et effectivement les plates imposent une position et une technique. Les zones plus cassantes sont juges de paix quand au niveau d’adaptation physique. La musculature a besoin de se développer en fonction. Les muscles travaillent différemment en plates et en autos, il faut un temps suffisamment important pour que le corps s’adapte. Je parle en connaissance de cause, j’ai vécu cette adaptation pour ce test !

  8. Super article qui tombe à pic. Après deux ans d’hésitations, je me suis décidé à essayer les pédales plates principalement pour progresser en technique. Merci beaucoup pour les conseils.
    Je pense partir sur les Five Ten freerider contact avec les pédales Funn black Magic. Vous en pensez quoi ?

    1. OK pour les Fiveten. Par contre les pédales Funn Black Magic sont montées avec les mêmes picots que les Funn Python que j’ai testé dans cet article. Ils sont gros et presque arrondis, ils ne grippent pas beaucoup. Cherche plutôt des pédales avec des picots plus fins. Pour rester dans ta gamme de prix : HT PA01 et Race Face Chester. Choisis celles avec le moins de renflement possible car le plastique glisse énormément lorsqu’il est mouillé 😉

      1. Merci pour ton retour 😉 ! Les horizons en matière plastique doivent être pas trop mal aussi ?! Je pense qu’elles ont les même picots que celle que tu as essayé.

  9. Super article, merci !
    Cela fait 20 ans que j’ai laissé tomber les autos sans regret. Pour le XC ça a du sens mais pour les autres pratiques et sur des terrains techniques et trialisants cela évite de se casser parce qu’on a pas pu dé-clipser à temps.
    Pour améliorer le grip des picots on peut mettre un petit coup de scie à métaux en croix sur le dessus.
    Le test pourrait être enrichi dans le temps avec d’autres marques de pédales et chaussures, histoire d’avoir un panel élargi pour comparer et bien choisir.
    Je confirme, pour rouler avec depuis longtemps, que les Nukeproof sont excellentes que ce soit en terme de grip, solidité et fiabilité des roulements. De plus, elles sont entièrement reconditionnables (axe, roulements, picots) et existent avec axe titane pour gagner du poids !

    1. Oui tout est bon pour optimiser 😉 Oui on peut élargir. Quasiment toutes les marques à qui nous nous sommes adressés pour ce test ont joué le jeu, ça prend du temps mais ça vaut le coup. C’est vrai que les Nukeproof sont drôlement fiables. Avant ce test j’en avais une paire depuis 5 ans, elles sont toujours là !

  10. Un point que tu n’as pas abordé -je crois, j’ai un poil lu en diagonale…- c’est la position de pilotage qui change, en tout cas chez moi.

    J’ai énormément roulé en plates et endurigide et ai acquis quelques réflexes de positionnement : talons baissés, en forçant encore le trait si ça commence à taper, et un peu plus tendance à rouler avec les jambes comme un cowboy pour laisser bosser le vélo ET les jambes plus librement.

    J’ai aussi un peu roulé en autos (des bonnes vieilles DX), en endurigide comme en enduro, et systématiquement après quelques centaines de mètres de dénivelé d’adaptation je roulais talons moins baissés DONC beaucoup plus sur l’avant. Pas pire en endurigide, ça permet au vélo de bouger encore plus librement quand ça tape, au détriment du contact avec le sol.
    Mais à mon avis ça peut avoir un impact si on reste avec le même vélo et le même poste de pilotage, mais qu’on change juste de pédales (sur les premières descentes en pédales autos sur mon enduro je survirais systématiquement dans les virages par exemple. Depuis je suis revenu aux pédales plates partout, avec bonheur).

    1. Oui, en effet, les plates influencent la position. C’est une réflexion que je me suis faite ce matin, tout juste, en repensant à @lolo, qui venait juste de remonter des plates, qui disait « aujourd’hui, j’ai envie de tout casser en vélo ». Il se sentait visiblement en confiance sur le vélo, comme si les plates le libéraient et lui imposaient une meilleure position pour attaquer, une posture plus confiante. A chaque fois que je suis passé aux plates après une longue période en auto, j’ai aussi eu cette sensation !

      1. Voilà. T’es plus « planté » sur le vélo, centre de gravité plus bas et plus en arrière, regard qui va naturellement plus loin 🙂
        Et comme tu mets plus de poids sur les pieds t’en mets forcément moins sur les mains, et hop du relâchement supplémentaire.

  11. Salut
    je roule en enduro depuis 2013 en pédales plates. J’ai fait du freeride avant et du BMX donc les plates étaient évidentes pour moi.
    J’aime le contrôle et le fun qu’on a avec. Le fait de pouvoir sortir le pied sans souci est un avantage au niveau confiance.
    Après ça veut pas dire que tu sors le pied tout le temps ;o)
    Pour le grip le contrôle et les sauts je trouve que c’est parfait.
    Pour le rendement ça dépend des chaussures je trouve.
    Je roule avec des Gusset et chaussure Five Ten Freerider et je trouve le rendement très bon.
    J’ai fait des compètes régionales (EREC Givrauval, Faulx, Enduro de Saint Dié, et Breizh enduro series) et cela n’a jamais été un facteur limitant (c’est juste le cardio du bonhomme qui est juste souvent!).
    Je recommande les Five Ten freerider car elles ne sont pas trops grosses ou trop lourdes, la semelle est rigide juste ce qu’il faut, et les pieds sont assez bien protégés. Sans parler du grip hallucinant des semelles Five Ten!
    De toute manière, vu mon niveau je gagne plus en confiance et contrôle que je ne perd en rendement….
    Keep Biking!

  12. Les pédales spécialized sont excellentes, mais demandent un entretien méticuleux, sinon elles vous couteront cher. L’outil (spé-cifique) pour les démonter coute à lui seul 25€.
    merci pour l’article. Content de voir que mon combo fonctionne…

    1. J’aime bien aussi les Specialized. On voit qu’ils ont réfléchi. Il y a plein de petites idées sympas : picots spécifiques évasés, axe et gros roulement, picots de rechange, etc. Cependant moi aussi, ça a été les premières à « gratter »…

    2. Le kit de reconditionnement coute 36€ et comprends l’outil+2roulements+2paliers (qui sont à l’extrémité de la pédale). Et comme ce sont les roulements qui grattent en premier je trouve que c’est plus que raisonnable comme tarif et ça permet de reconditionner les pédales pendant au moins 3 ou 4 ans!
      L’étanchéité n’est pas super poussée mais c’est à cause d’un problème de place pour permettre de mettre le roulement le plus à l’intérieur possible.

  13. Je suis en auto depuis pfou … des décennies. J’ai maintenant en VTTAE et très régulièrement je tape mes Time Alium qui résistent bien. Quid des picots en pédales plates, un coup à les écraser / casser, non ?

    1. Très très bonne remarque ! Récemment j’ai vécu un enfer en plates en VTTAE, je touchais de partout, j’ai explosé les pédales en 3 jours (picots cassés, axes tordus, etc.), tout comme j’ai connu rien de plus banal la fois d’avant. Les nouvelles possibilités que permet le VTTAE, notamment en montées techniques, mettent en évidence certains défauts des pédales plates (encombrement latéral plus important et impossibilité de tirer sur la pédale). A cogiter !?

  14. bonjour à tous.enfin un test de plates.je roule en VTT depuis 1991 en plate au début après avec des cales pieds et des que TIME a sorti des autos en 93 j’ai franchi le pas.j’ai roulé avec des autos de différentes marques jusqu’en 2006.Depuis le début de ma pratique j’ai toujours pratiqué ce que l’on nomme »enduro » maintenant.Les autos me convenaient,mais en 2006 grosse frayeur avec des plates,car tout dépendait de l’endroit ou je roulais,j’étais des fois en plates et des fois en auto.les plates ça change completement la façon de positionner ses pieds et de piloter,depuis je suis en plate car plus de liberté,la marche plus aisée sans la cale,obligé de réapprendre à pedaler à reflechir avant de passer un passage technique,moins bourrin.par contre faut accepter d’avoir moins de puissance à la relance,en montée aussi et de perdre les pédales quand sa secoue en montée.
    concernant l’article,il est bien fait mais trop technique pour moi.
    avec une pédale plate tu as la rigidité,une paire de five ten et roule.ayant roulé avec certaines marques de chaussures que tu essaye ,rien n’est aussi costaud , confortable et collant que les five ten

    pour les pédales depuis trois ans sur mon enduro je roule avec des nuke proof NEURO.bien plus résistantes que les alus sur mes DH aussi.
    les plates c’est le bonheur

  15. Salut et très bon article au passage, merci Tom.

    Autre point très important selon moi, les plates ont une surface d’appui beaucoup plus importante que les autos, donc on a de meilleurs appuis et plus de stabilité.
    Ce qui met également en confiance.

    Si tu peux tester ? > FiveTen Freerider Pro et DMR Vault Brendog.
    Tu m’en diras des nouvelles 😉

  16. Il est noté dans l’article « Plus efficace avec l’expérience, le rendement est meilleur », que faut-il comprendre ? Qu’avec l’expérience le rendement d’une pédale plate s’améliore ou alors le rendement de la pédale plate est supérieur à celui de la pédale automatique ?
    De plus merci de préciser la définition de la notion de « rendement » pour une pédale car en règle générale lorsqu’on parle de rendement d’un pédale c’est sa faculté à transmettre l’énergie lors du pédalage, et dire que le rendement d’une pédale plate est meilleur que celui d’une pédale automatique … Il faudrait en parler aux routiers et aux crosseux ?

    1. Concernant le rendement plates vs autos : https://www.youtube.com/watch?v=CNedIJBZpgM

      En gros les chiffres disent que… les plates sont plus efficientes, mais il est logique que les plates font moins consommer d’oxygène puisque qu’on se contente d’appuyer sur les pédales, alors qu’avec des autos il n’y a aucune phase de repos pour les muscles (on pousse, puis on tire).
      MAIS si on consomme plus d’oxygène avec des autos, il est aussi certain que la moindre accélération sera beaucoup plus rapide.

      1. La réalité s’est que la majorité des gens ne se posent pas vraiment la question de savoir comment fonctionne le mouvement de pédalage, comment pédaler pour s’économiser, comment pédaler pour relancer puissamment, comment pédaler quand s’est très raide, etc… Tu parles de tirer les pédales en pédales auto mais je pense que la plupart des gens ne savent même pas utiliser cette fonction correctement (relais des groupes musculaires) qui est quand même le gros avantage des pédales autos. Les médias français parlent rarement de la technique et de l’apprentissage comme si le vtt enduro ne s’apprenait pas. Heureusement quelques médias étrangers (celui que tu cites ) le font.

    2. Ce qu’il faut comprendre : avec l’expérience, notre musculature s’adapte, nos capacités physiques évoluent, notre « coup de pédale » s’améliore, le rendement en plate est meilleur maintenant, après 5 mois, qu’à mes débuts ! Je ne compare pas aux pédales auto 😉

  17. Salut, mon experience est loin d’etre celle que lit dans ces commentaires et je roule principalement en pédale plate.
    Cependant depuis 1 an j’alterne les 2 types tout les 2 mois environs, selon l’humeur et le terrain. En plate je roule surtout en VANS car j’adore le grip et j’ai tent’e les Giro du test avec plus ou moins de bonheur. J’ai réalisé la limite des VANS dans les terrains avec de la caillasse, la semelle est trop fine et on a pas du tout envie d’y poser le pied. En revanche avec les Giro pas de problème en montagne ou la caillasse. La semelle est assez rigide mais pas plus solide, du coup elles ne dures pas plus longtemps tout en étant bien plus chéres. Mais le reste de la chaussure n’a absolument pas bougé.
    Concernant les pédales auto, les bons points c’est que ca oblige a plus d’engagement dans les virages, et donc moins sortir le pied, une impression de meilleur contrôle du vélo, mais malgré ma faible experience je sens vite les mauvaises habitudes venir concernant la technique.
    Du coup j’alterne avec les pédales plates avec bonheur 😉

  18. Je roule depuis toujours en plates et depuis 2 ans en Five T’en impact low ( celles du test donc) avec des pédales Chromag Contact, que pensez vous de ce duo ?

  19. Cela aurait été sympa d’inclure les DMR VAULT dans le test sachant que c’est LA référence de la pédale plate …!

  20. Par contre, un commentaire sur le prix des modèles testés: 150 Euro pour une paire de pédale c’est pas un peu abuser le consommateur quand même?

    1. C’est sur que ça fait mal de sortir 150 balles pour un composant aussi peu valorisé, avec aussi peu de mécanisme etc… Mais ça m’étonnerait que les constructeurs margent tant que ça sur les pédales alu justement (coût matière, temps machine, etc…) contrairement à… je ne sais pas, un disque de frein vendu 30 balles en shop par exemple et fabriqué en découpe sur de la tôle qui ne vaut pas grand chose, à coup de 250 ou 300 rotors dans la machine en même temps…

      Bref, 150€ pour une très bonne paire de pédales plates ou 70/80€ pour « juste » une bonne paire de pédales plates (voir moins, les OneUp en plastique à 45€ par exemple) … C’est le même ratio entre une Lyrik et une Yari, entre des grips Chromag et des 8.3. Les deux gammes marchent TRÈS bien, la différence pour « nous » (les pratiquants amateurs) se joue sur des détails insignifiants, qu’on ne ressentira pas à l’usage.

      1. Effectivement 150€ pour une simple paire de pédales ça peut déranger. Mais une bonne paire de pédales ça se garde plusieurs années. J’ai une paire de Nukeproof Neutron au garage qui a plus de 5 ans et qui tourne encore, d’ailleurs ce n’est pas une paire à 150€… et comme le dit bien Wilfried, ce n’est certainement pas le produit le plus rentable 😉

    2. Le but de ce dossier est de mettre en avant les points et les détails techniques importants pour choisir son matos. Comparer des produits n’est pas le sujet principal. Comme certains l’ont fait remarquer, plusieurs produits intéressants ne sont pas présent : DMR Vault, nouvelles (et anciennes, voir historiques) Shimano, pédales en plastiques, pédales peu onéreuses, etc. Les marques que nous contactons ne peuvent pas toutes jouer le jeu : en fonction des dispo produits, en fonction de leur stratégie marketing, etc.

  21. Gros fan des plates également pour avoir la possibilité d’utiliser des chaussures de rando pour faire des sorties montagne mais également pour la sécurité et la liberté en descente.
    par contre je trouve étonnant le manque d’offre pour des chaussures goretex pour pédales plates … hors mis vaude …
    Manque aussi un petit sujet sur les picots acier ou alu, acier sur l’extérieur pour la durabilité etc ..
    perso combo syntace numbernine ou twent6 predator avec addidas trailcross ou five ten guide tennie gtx.

  22. Super article.
    Toujours ridé en flat. Pleasure first.
    Sam nous montre l’exemple 😉
    Longue vie à la pédale plate

  23. bonjour,
    je suis moi aussi, entrain de reaprendre a rouler en flat.
    jai investi dans des pedale saint.
    je cherche la paire de chaussure parfaite ???
    Shimano, fiveten, ect… ???
    Merci 😉

  24. Je roule aussi en plate et comme Tom je trouve que l’offre chaussures d’hiver est très faible voir inexistante :-/ .
    J’espere une jour pouvoir trouver des modèles adaptés à la boue, l’eau et au froid 🙂 .

  25. Salut,
    J’ai une question concernant plus les chaussures.
    Qu’en est-il du maintien du pied pour les modeles essaye ? Aussi, quand il y a portage du velo, quel type de semelle privilegier ? Chaussure un peu rigide ?

  26. Merci pour cet article qui donne raison a mon choix !! J’ai essayé les clips et pas à l’aise du tout avec !!! remis pédale plate avec long picots (ok mes tibias sont marqué !! ) et….j’adore et me sent bien mieux avec !! Mon fiston en revanche (8ans) gère bien avec les clips surtout en compet !!!

  27. La pédale plate, le « Standard », qui redevient tendance, ça me fait sourire (sarcasme).

    De part mes anciennes pratique en street&park ainsi que du trial*, les chaussures de skate sont ma prédilection, le dessin strillé en chevron de la semelle va avec tout (sauf la boue, certes) avec l’avantage des tiges haute pour protéger la cheville.
    Le « manque » de rigidité permet une bonne lecture pied-pédale ainsi qu’un amorti non négligeable dans le cassant pour les pieds et les jambes, elles ne font pas étuve sans pour autant être froide en hiver, mais n’aime pas l’eau (chacun son truc…).

    A en faire râler certains sur ce débat, on peut pédaler à la remonter, que le début ok, avec un plateau ovale*, du coup le faisceau arrière de la jambe est bien plus sollicité au grand soulagement des rotules et on gagne en rendement & motricité dans le positive escarpé.

    Combo actuel: Globe Mojo Hi & Race Face Atlas (picots réglé bas)

  28. Moi je vois le positif dans la pedale auto niveau performance de pedalage et technique mais tout le monde semble occulter la chute pas celle ou l’on a pas reussi à declipser apres avoir buté sur un rocher .
    Je parle de la grosse gamelle ou l’on est content de partir le mieux possible dans les premieres fractions de seconde, celle ou l’on espère bien toucher le sol et s’agripper avant la falaise.
    Oui ça declipse vite quand on a l’habitude mais jamais aussi vite qu’en plate.
    En xc je veux bien rouler avec mais en all montain je serre les fesses et en enduro jamais de la vie.
    Donc moi c’est plate

  29. La pédale auto reste de par son encombrement super intéressante pour éviter de taper en Vae ! je suis fraichement convertit aux plates depuis peu (Five+Hope) , le gripe est parfait mais nécessite de tout re apprendre , notamment pour les petits sauts , avec ces dernières plus possible de « s’aider » en tirant vers le haut …gamelle assurée !!!

  30. Très bien,bien moi j’ai commencé en plate,pendant 2 années,deux enduro un en plate le derniere en auto,est là,ça pas été gagné,surtout quand c’est très technique en devers et avec de la boue..
    Donc je me pose la question,de revenir en plate,faut juste une paire de basket qui soit polyvalente,mais c’est vrai que la plate,n’a rien à voir,avec une auto,si ce n’est que les relances,est autre bunny-hup passe bien mieux,à voir..
    Merci encore pour cet article.

    1. si tu trouves que les bunny up passent mieux en auto, alors c’est que tu ne sais pas les réaliser comme il faut.
      c’est le problème de beaucoup de technologies, elles sont souvent utilisées trop tôt avant d’avoir acquis le bon geste et la technique

  31. Merci pour ce test, très instructif ! J’ai des HT et je roule avec des mavic crossride en ce moment. L’accroche est loin d’etre au top.
    J’ai pris des Fiveten impact suite à la lecture de cette article.
    L’accroche est top…. mais la forme de la chaussure ne convient pas à mon pied, malgré l’achat ‘une pointure au dessus.. trop étroit, ou pied trop large.
    @ Tom: est ce que les Giro ou les shimano correspondrait un un pied plus large que les fiveten ?

    1. Les Giro non, mais les Shimano oui. Elles laissent un peu plus de place au pied. Mais je suis dans le même cas que toi, les chaussures me semblent étroites. Les FiveTen demande un temps important de rodage. A chaque fois que j’ai une paire de FiveTen neuve, il me faut plusieurs sorties pour y être à mon aise à l’intérieur 😉 Prends le temps de les roder, avant de tout changer.

  32. Retour d’expérience sur le combo ht- Giro jacket:
    Bon grip et très bonne sensations. Les HT font une super boulot, quand au Giro, on est bien dedans, elles sont esthétiquement pas mal. Là où ça coince sévèrement c’est sur la qualité de la semelle vibram. 2 mois d’utilisations, 1 après midi en station, et 150 km plus loin, jai 2 déchirures sur chaque semelles. L’un au niveau de l’appuie de la pedale et l’autre au talon, qui fait ces 3 bons centimètres… 😮

  33. Salut, super article !! J’aime rouler en automatique mais cet article m’a donner envi d’essayer plates…
    Est-ce qu’un dossier comparant les chaussures et pédales auto est prévu ?
    -J’ai eu les mx8 , très agréable à reclipser y a juste à poser le pied ça prend tout seul.. le bémol c’est qu’elles sont dure déclipser donc manque de confiance en descente technique.
    -J’ai remis une paire de DX réglées sensibles pour que je puisse sortir le pied quand bon me semble et moins appréhender le technique. Par contre pour reclipser en descente il faut bien placer le pied ce qui peut porter défaut surtout elles on tendance a glisser comparer aux mx8 qui vienne se clipser seules.
    Peut être que les chaussures peuvent change la donne, (mes mavic crossmax enduro arrive en fin de vie) je suis tenté par des Five Ten Hellcat, Maltese ou Krestel. Pour une utilisation enduro vous conseiller les quelles ? (35/40km en moyenne par sortie).
    J’ai pensé les essayer en pédale plate pour me faire une idée et les passer en automatique si besoin..
    En plate j’ai peur de manquer en rendement et d’avoir les pieds qui s’échappe dans les descentes caillouteuse du sud..
    A moi de me faire mon idée, merci pour vos conseil .

    1. Salut, c’est pas (encore) dans les projets, mais ça pourrait tout à fait y entrer 😉 On a pas roulé toutes les Five Ten que tu liste, mais on a les Kestrel à l’essai > un peu plus fines et légères que les autres. Elle se prêtent bien à la pratique Enduro, très polyvalentes. Pour régler cette histoire de difficultés à clipser/déclipser, tu peux aussi essayer de jouer sur la hauteur des cales par rapport à la semelle. Certaines sont vendues avec des petites surépaisseurs à glisser entre le chaussures et la cale. Ça peut aider. C’est vraiment la manière avec laquelle la cale est « enfoncée » ou « dépasse » de la semelle qui influe sur son accès aux crochets de la pédale, et définie aussi à quel point la semelle va entrer en contact ou non avec la cage de la pédale. Tout est une question d’ajustement dans ce cas 😉

  34. Slt, que penses tu du combo nukeproof neutron Evo et five ten freerider ? J’ai déjà les nukeproof et regarde pour m’équiper de chaussure. Merci 🙂

  35. Bonjour,
    Tout d’abord merci pour cet article.
    Je souhaite investir dans une paire de crankbrother stamp.
    Cependant je chausse du 43, soit pile poile à la limite entre les small et les larges…
    Saurait tu me dire pour quelle taille je dois opter ?
    Merci pour ta réponse

    1. Je chausse moi aussi du 43 et effectivement on est à la limite entre Small et Large. Il est vrai que parfois je trouve les Large un poil large, tout dépend des chaussures et de là où je roule en fait ! Donc les questions à se poser pour choisir sont les suivantes : quelles chaussures portes-tu ? Quelle est ta pratique : Enduro ou plutôt All Mountain ? Où roules-tu (Alpes, Sud de la France, sentiers naturels, bikepark, etc.) ?

      1. Salut Tom

        Merci de ta réponse.
        Ma pratique actuelle est plutôt randuro / all mountain avec une ou deux courses dans l’année. Je roule au Pays Basque et Pyrénées.
        J’ai une paire de five ten freerider.
        Si je comprends plus la pratique est engage et plus je dois me diriger vers une pedale large ?

        1. Oui, effectivement, j’aurais tendance à aller dans ce sens là quand on est à la limite des tailles. Le problème des Large avec des chaussures fines c’est qu’on n’utilise/n’appuie jamais toute la plateforme, donc elle n’a pas d’intérêt !

    1. Je ne les ai jamais roulées, je n’ai d’ailleurs jamais testé un tel concept. Je ne préfère donc pas m’avancer. Surtout que la puissance de l’aimant doit avoir une influence importante…

  36. On peut choisir la force de l’aimant en fonction de son poids et de son programme.
    Sinon quelles chaussures parmi celles testées (fiveten, shimano, ion et giro) sont les plus adaptées aux conditions humides et à la boue : à la bretagne quoi 🙂
    Merci

  37. Bonjour,
    Si je suis en train de lire ce test, très intéressant et instructif, c’ est que je suis coincé sur mon canapé avec une fracture bi-malléolaire à la cheville droite…..faisant suite, à je vous donne dans le mille: une chute en VTT avec la chaussure droite qui ne s’ est pas dé-clipsée de la pédale , le poids du corps à fait le reste.
    Roulant depuis 25 ans avec des pédales auto (route et vtt) suite à cette blessure, je me pose légitimement les questions suivantes, si je devais passer aux pédales plates:
    – saurais-je m’ adapter tant techniquement que physiquement à des pédales plates ?
    – ne vais je pas perdre en rendement, en montée ou lors des relances ?
    – sur les sauts, saurais- je toujours faire décoller le vélo (genre bunny-up et autres sauts, tellement facile avec des « auto ») etc … ?
    Avec des pédales plates, Je comprends aussi la liberté d’ action, sur les parties techniques engagées pour moi, étant moins perturbé sur le fait que j’ ai les pieds pris…..
    mais est-ce que le gain est suffisant selon ma pratique typée, « randonnée sportive/all mountain » on l’ on fait pas mal de dénivelé +

    Pas simple…..de changer ses habitudes….

    1. Bonjour,

      Fervent défenseur de la pédale plate, je vais tenter de répondre à tes questions avec mon point de vue et mon ressenti…

      – tu sauras t’adapter, surtout si lors du pédalage tu fais déjà le geste de tirer la pédale vers le haut non pas en « raidissant » la cheville mais au contraire en mettant le pied dans le prolongement (en exagérant…) de la jambe. J’ai appris, en pédales plates, à faire ce geste très récemment et, ça rejoint ta deuxième question, le rendement est vraiment meilleur qu’en se contentant de pousser comme -je pense- la plupart des utilisateurs de pédales plates font.
      – au sujet de ce rendement toujours, GMBN avait fait une vidéo très intéressante sur le sujet, qui montrait que le gain en autos était marginal ou inexistant, je ne me souviens plus précisément.
      – concernant les gestes techniques, tout dépend si tu faisais travailler ton corps de la « bonne » manière, ou si tu comptais uniquement sur les pédales autos.

      Après, pour être exhaustif, le placement de la roue arrière est plus précis avec des pédales autos, que ce soit en saut ou en descente (ou même en montée technique d’ailleurs), du fait qu’il n’y a pas besoin de modifier sa position avant de balancer les pieds à gauche ou à droite.
      Mais ça procure une liberté, une sérénité tellement grande de rouler en plates que ce petit défaut est vite oublié 😉

    2. Le passage aux pédales plates n’est pas anodin, surtout après de nombreuses années en auto. Et comme tu le dis : pas simple de changer ses habitudes 😉 Il n’y a qu’une chose à se dire et à accepter : le temps fait bien les choses. Certes tu auras une perte de rendement et les gestes techniques seront moins évidents/instinctifs qu’auparavant : mais ça ne dure qu’un temps, celui de l’adaptation. Elle s’opère d’ailleurs à tous les niveaux : tant physique que technique. Elle est plus ou moins longue mais en vaut franchement la peine ensuite. Comme certains viennent de l’écrire, il a des caps : celui des 2-3 premières sorties, celui des premiers mois et celui de l’année voir de l’année et demi. Au delà de ça, tu ne te poseras même plus ces questions 😉

  38. Bonjour 35 ans de vélo cette année transition route vers VTT il y a 15 ans toujours évolue en pédales autos je suis passé en pédales plates en fin d’année dernière 2 sorties pour m habituer je ne suis plus très sûr de repasser en auto ( rando trail loisir) que du bonheur

  39. Salut à tous, vttiste depuis toujours je suis passé du musculaire au vttae tout naturellement au vu de l’âge avançant et au fait que les sorties se faisaient avec des gars de plus en plus, jeunes (lol). Avec ce changement de monture j’ai tout naturellement conservé mes pédales auto et mes chaussures. Résultat de nombreuses gamelles et plus spécialement en montée car je m’attaquais à des pentes que je n’osais même plus regarder depuis longtemps. Je suis donc passé aux plates avec une bonne paire de five et là je revis. Que se soit en montée ou en descente je m’engage dans la trace sans aucune appréhension et vraiment l’esprit libre de dire: vais je avoir le temps de declipser si cela se passe mal. Je touche du bois cela fait longtemps que je n’ai pas dit bonjour à la planète. En tout cas bravo pour l’article, c’est mon poto francky qui m’à donné le lien, vraiment super, continuez ainsi.

  40. Bel article, je suis en train de passer sur les plates et un semi-rigide pour retrouver des sensations de pilotage et de finesse.
    Du coup, j’hésite entre les Five Ten et les Shimano, leur aptitudes à la marche n’ayant pas été abordé, laquelle serait la plus appropriée? et surtout, leur tenue dans la boue ou la petite glaise bien collante…

  41. @Tom Garcia, une Five Ten Freerider Pro est envisageable pour de la randonnée ou bien un autre modèle ?
    La tige basse de la chaussure me semble limite pour des longues sorties.
    Merci par avance.

    1. Les FiveTen tiennent quand même bien aux pieds. Et les Freerider Pro sont légères. Je ne vois pas l’intérêt des tiges hautes à part pour protéger la cheville des impacts en tous genres. A moins que tu parles de randonnée à pied… 😉

  42. Salut,

    Il y a aussi les adidas Terrex Trail Cross Protect avec tige haute ou les adidas Terrex Trail Cross sl.

    La selle est la même que les five ten avec un prix plus contenu.

    Elles accrochent très biens avec mes sixpack vegas.

  43. Salut Lechamoix74,
    La 5/10 freerider pro accroche de folie sur les pedales, mais la semelle est quasiment lisse, je roule avec, et si c’est gras ou humide, ça glisse vraiment dès que tu n’est plus sur le vélo…

  44. Bonjour, merci pour cet article tres interressant.je viens de m acheter mon premier vtt enduro et je m equipe petit a petit.
    Je chercher donc des bonnes chaussure et je quis arreter que les five ten impact sam hill 2019:
    https://www.probikeshop.fr/chaussures-five-ten-impact-sm-hill-noir-2019/163884.html
    Quand penssez vous? Un.autre conseil?
    De plis pour les pedales on m a consseillé celle ci de Ht coponents:
    https://www.probikeshop.fr/pedales-ht-components-ans01/132486.html
    Merci beaucoup de votre aide.

    1. Ton choix de combo pédales/chaussures est bon, mais sache que ces chaussures ne sont pas les plus faciles à emmener au pédalage quand on n’y est pas habituer. Pour rester chez FiveTen, tu peux peut-être plutôt partir sur des Low Impact Pro, un poil plus légères 😉

  45. Salut a tous

    Petit retour apres 2 mois et demi sur un retour sur les plates, après quelques années en auto !
    Donc bas c’est pô mal comme dirait l’autre !
    C’est sur que dans les partie avec grosses pentes, ou autres situations très compliqués, avec grip précaire, c’est un vrai plus !
    J’avais posé quelques questions point de vue rendement pour les grosses sorties un peu plus haut.
    j’ai fais pas mal de bornes, notamment des sorties avec 2000 de D+ et cela s’est très bien passé.
    La différence pendant le pédalage sont les grosses relances, on a tendance a resté un peu scotché en plate je trouve. On appuie, on appuie, le cardio s’affole, mais le vitesse devient plus statique ^^
    Pour un bon pédalage, c’est vrai, il faut impérativement bien placer ses pieds. C’est vraiment important.
    Par contre, je pense rouler un peu moins vite en mode chasse au KOM ou autres grosses arsouilles.
    J’ai l’impression que les autos sont plus des pédales de performances, donc a chercher le chrono. On gagne un peu en stabilité, et on tient je trouve mieux le vélo, surtout quand c’est bien défoncé, et aussi, quand on est fatigué. Les pédales plates demandent d’etre plus frais, plus en forme.
    Les pédales plates sont vraiment les pédales du fun, de l’engagé.

    J’ai opté pour un combo pédale Hope/FiveTen Freerider.
    Ca accroche très bien, chaussures faciles. Mais petit bémol sur les Freerider.
    Elles sont vraiment trop souple point de vue semelles. Elle manque cruellement de rigidite quand il y a des gros appuis. Elles en deviennent presque fatigantes.
    De plus, elles ne protègent pas trop. J’ai pris plusieurs fois des pierres dans les orteils… aie !!
    Est ce que les plus « grosses » FiveTen corrigent ses défauts la ?

    En tout cas, encore merci pour tous ces essais 🙂

    1. Merci pour ce retour d’expérience.
      Effectivement, les Freerider sont un peu souples et ne protègent pas des masses. Tu peux opter pour des Freerider Pro ou carrément des Low Impact Pro : tu gagneras en rigidité comme en protection 😉

    2. Même retour que toi . Les freerider sont vmt pas rigides . Les low comme dit Tom sont bien plus rigides. Même si plus lourdes la semelle se déforme moins et on y gagne pas mal. Mais bonjours l’odeur après une grosse sortie pour moi 😀

    3. Merci pour vos conseils des Freerider Pro, mais je vais m’orienter vers les Ion Raid je pense 🙂
      J’ai eu des Ion Rascal en auto et cela a vraiment été mes meilleurs chaussures auto

  46. Plates au tout début (logique^^) en 1989 (avec découverte de Vélo 9…..Serge,si tu nous lis 😉 )
    Et passage aux autos pour bien étre performant sur le Klein Attitude de 9 kg (XC de frimeur,en fait)
    Passage en auto a la converion en vtt trial (logique) des gros piéges a loup avec protége tibia.
    2000 a 2018 ….plus de vélo (Vendeur moto,donc on devient feignant !)
    Juin 2019 retour au vtt (AE) avec des plates (Crank brother Stamp1..Oui celles en composite) et des baskets Nike (Oui,pas encore acheté de « vraies » pompes) Ca le fait,méme dans le défonçé (retour sur solidité ? I don’t know,juste 200 kms 😉 )

  47. Je suis passé recemment en Shimano GR9 / HT ANS01 et c’est nickel. J’ai d’abord essayé des 5.10 Impact Sam Hill mais je me suis retrouver entre deux tailles car comme dit plus haut, le bout de la chaussure est etroit et j’ai un pied plus large que l’autre. En tout cas la chaussure Shimano a l’air de bien supporter les gros picot. Ca ne bouge pas sur la pedale.

    Sinon oui c’est un regal de rouler en plate. On redecouvre des sensations et c’est ideal pour travailler la technique « sur le parking ».

    Au niveau de l’apprehension, je suis assez d’accord avec ce qui a ete dit plus haut.: Les premiere sortie on sert peut les fesses car on a peur que le pied glisse. Et au bout de quelques semaines on y pense plus!

  48. Bonjour, merci pour cet excellent test!

    Je viens de passer au flats il y a qq mois et je trouve que mes descentes sont bien plus funs qu’avant 🙂

    Après avoir détruit la semelle de mes chaussures Nikes :/ j’ai acheté les shimano GR9 que j’ai utilisé dans ma dernière sortie avec mes crank brothers stamp 1.

    Malheureusement, je ne suis pas content avec ce combo. Dans ma position normale de pédalage (métatarse sur l’axe du pedal) il n’y a presque pas grip. La semelle est bombée à cet endroit-là et les picots n’arrivent pas à s’enfoncer malgré mes efforts pour rendre la pédale le plus concave possible en jouant avec les hauteurs des picots.
    Pour avoir du grip il faut déplacer le pied vers l’avant de 5/7 cm, à cet endroit la semelle est plate et le grip est au rdv.
    Le fait d’avancer mes pieds ne me pose pas de problème en descente mais c’est une histoire complètement différente en monté où je garde ma position normale et les pieds glissent dans tous les sens. Rouler sur du plat ou en montée sur de la caillasse est presque impossible.

    Après avoir lu ton test, il est evident que les HT sont la solution à mon problème grace à sa concavité mais je trouve que le prix est un peu trop élevé.

    Connais-tu d’autres pédales aussi concaves que les HT mais à un prix abordable? Tu as décrit les Nukenproof comme performants mais d’après les photos ils sont pas trop concaves du coup j’hésite.

    Est-ce que tu as remarqué le même inconvenient que moi avec les Crank Brothers et les GR9?

    Merci encore pour les essais 😉

  49. Bonjour, et merci pour la qualité de cet article, qui m’a fait enlever les picots du centre de mes pédales plates !!!.
    Après, concernant la longévité des roulements des pédales, il faut pas mal de kilomètres pour juger du vieillissement de ceux ci.
    Perso, je change mes paliers et roulements tout les 8000 kms, histoire d’avoir une pédale sans jeu.
    Les photos sont de belles qualités, les textes sympas, bref, que du bon !!.
    Belle continuation à vous tous.
    michel

  50. Nanar, tu préconise une paire de basket , tu prends des risques.Pour ma part je roule en five, elle m’on sauvée les pieds plusieurs fois (branches, pierres…), grâce au bout renforcé.
    Je suis passé au pédales plates depuis 4 ans, suite à un accident de ski (3 ligaments en moins). Il a fallu une période d’adaptation, mais maintenant je ne reviendrais plus en arrière, le matériel à tellement évolué que c’est que du bonheur.

  51. au risque de passer pour un imbécile, je ne comprends pas bien le tableau d’association pédales chaussures ? je ne sais pas à quoi correspond le code de couleur. Merci de répondre

    1. Bonjour Olivier, plus la couleur est sombre, plus le couple est intéressant. Les quelques phrases qui suivent le montrent 😉

  52. bonjour
    en pedales plates depuis 2006 avec des five ten,suite à une grosse frayeur en auto et aussi pour copier sam hill,j’ai mis plusieurs années avant de trouver ce qui me convenait.
    j’utilise des pédales le plus large possible en nylon,car beaucoup moins fragile que toutes les alus,moins cheres,plus légeres.
    des fives ten freerider pour pédaler et five ten impact pour descendre.
    par contre les chaussures pour pédales plates ne doivent pas etre rigides car la plate forme de la pédale est beaucoup plus grande,donc plus de points d’appuis,et tu dois pouvoir sentir ce que tu fais avec tout ton pied sur la pédale.
    il m’arrive avec les impact de perdre la pédale ,qu’avec les freerider jamais sauf erreurs.

  53. Bonjour Antoine,
    Merci pour ce test. Je suis en train de rebasculer en plates moi aussi après plusieurs années en pédales automatiques, et ce n’est pas facile. Je suis habitué à tirer la pédale particulièrement en montée, et du coup le passage en plates se fait ressentir avec un manque de puissance.
    Je voulais savoir si au bout d’un mois tu as pu t’habituer au rendement inférieur, ou si le fait d’avoir des bonnes pédales, et bonnes chaussures permet quand même de récupérer un peu de grip suffisant pour tirer la pédale, ou bien s’il faut améliorer ou modifier son pédalage…

    1. Bonjour Gil,

      Tom, auteur de ce dossier, te répondras avec plus de précision, mais globalement, il est nécessaire de prendre de nouvelles habitudes. Rien de grave, simplement un temps d’adaptation dont la durée varie d’une personne à l’autre. Tu peux éventuellement faire quelques exercices en liaison, sur du plat pour progresser plus vite. Notamment essayer de pédaler d’une seule jambe. Au début, c’est galère, mais à force, tu fini par trouver des astuces : reprendre l’habitude d’appuyer plus fort sur la pédale quand elle descend, la griffer vers l’arrière/le haut quand tu atteins le point mort bas, casser la cheville et pousser la pédale vers l’avant plus tôt quand tu es au point mort haut… C’est parfois très bon de revoir les « bases »

      1. Il y a effectivement un temps d’adaptation. Pour ma part j’ai constater des progressions après 1 mois, 3 mois, 6 mois et 1 an et plus 😉 Alors il faut être patient et persévérer!
        Je ne tire pas vraiment la pédale en griffant avec le pied, en auto je ne tirais déjà pas et je ne pense pas que l’on tire réellement : c’est surtout une question de stabilité. Le pied étant accroché on ne se soucie pas de son maintien/appui sur la pédale alors qu’en plates, il faut ! Le gain de stabilité articulaire fait parti des points qui vont naturellement progresser avec le temps. L’adaptation musculaire fait partie du cheminement, sois patient 😉

  54. Bonjour,
    Merci pour très bon dossier/test.
    Je suis repassé aux plates depuis qq mois suite à des soucis de cheville, je n’y trouve que des avantages pour ma pratique AM et mon niveau :
    Plus de fun et de prise de risques en descentes, plus rapide, éjection plus safe lors des gamelles, liberté articulaire, plus de facilité pour marcher quand il faut pousser/porter le vélo, plus de liberté au pédalage, je retravaille les bases techniques.
    Je craignais « perdre » en montée mais au final après un temps d’adaptation et qq erreurs au début à vouloir tirer la pédale, j’ai même pu améliorer mes temps sur mes grimpettes habituelles.
    L’hiver, pour l’instant ça passe avec des chaussettes étanches type sealskinz (peut être des surchauss’ en + si grand froid).
    Bref, que des avantages pour moi au final, j’ai même pu améliorer ma pratique!
    Mon combo : 5ten freerider pro/sixpack icon 2.0.
    Dommage que vous n’ayez pas pu tester ces pédales, elles sont de très bonnes factures et gagneraient à être connues

  55. Hello, je ne sais pas si mon message aura encore une réponse, mais je pose quand même ma question. Je suis en auto depuis que je roule en VTT sérieusement (7 ans). J’ai une pratique enduro et aujourd’hui je suis en VAE et je vois moins l’intérêt des autos alors je veux passer en plates !

    Maintenant je suis vraiment à la ramasse concernant mon choix, j’ai repéré les Fiveten Freerider qui ont l’air d’être une référence en grip, mais c’est moche et on croirait des pantoufles usées vu certaines photos… Je ne sais vraiment pas quoi essayer sachant que ça sera ma première chaussures plates. Les Giro ont un look sympa, mais j’ai pu lire que pour les pieds larges c’était limite. Les GR9 me branchaient bien, mais en grises elles sont immondes. Dur choix..

    Concernant les pédales c’est pas mieux, le choix est dingue !! Votre test est top, mais je ne veux pas mettre autant dans des pédales, 80€ max. J’ai un pote qui jure que par des RF Chester, mais j’ai un pied large et d’après un test que j’ai lu, elles ne sont pas très larges (pour info je chausse du 45).

    Est-ce que vous auriez quelques bonnes pistes svp en restant dans un budget plutôt raisonnable ?

    1. Salut ! Si c’est une question de goût et de couleur, je ne vais pas pouvoir choisir pour toi, mais je ne saurais te conseiller des Fiveten tant leur gomme reste un ton au dessus du reste. Les Freerider, un poil fines en épaisseur de semelles finissent par faire mal aux pieds, on sent les picots des pédales au travers. Des Freerider Pro sont plus à propos… mais plus chères. Sinon les Shimano GR9, les Specialized 2FO Flat restent des bons choix pour les pieds larges et pour durer… Les Giro sont en effet à éviter pour les pieds forts, elles sont trop fines à la longue.

      Niveau pédale, les Nukeproof à l’essai, les Horizon Pro, sont sous ta limite de prix à 80€. Elles sont larges et assez robustes. C’est déjà un bon choix. La concurrence du même niveau (Hope F20, DMR Vault, Burgtec MK5, Specialized Boomslang), ou presque, reste un peu plus chère mais durera encore plus dans le temps.

      Pour ma part, j’ai roulé 2 ans avec FiveTen Low Impact Pro et Nukeproof Horizon (disons 4000km sans forcer) : pédales encore en état de rouler et les chaussures roulent encore et toujours (je vais devoir changer les lacets). Je n’ai jamais ouvert les pédales pour un entretien. J’ai juste changé quelques picots. Dans l’ensemble, l’investissement doit se faire pour durer 😉

  56. Bonjour,
    Si tu cherche des pédales plates pas trop chères les oneup composites ont une très bonne accroche (avec des fiveten Freerider) elles sont assez larges et on les trouves à moins de 50 Euros

  57. Merci Tom et Denis pour vos réponses.

    Pour les chaussures je suis finalement parti sur une promo de Five Ten Freerider.

    Concernant les pédales je vais rester dans l’optique de voir si ça me convient ou pas par rapport à mes habitudes et surtout mon niveau, en prenant une paire en composite (car moins chères).
    Les modèles qui sortent du lot d’après de nombreux tests ce sont les HT PA03A, les RF Chester et les OneUP Composite. Les OneUP sont très bien notées, mais ont une forme un peu différente, convexe et non concave, avec une plate forme un peu plus large et plus fine que les 2 autres, c’est difficile de se rendre compte quand tu en as jamais eu. Les HT ne sont vraiment pas cher et bien notées, les RF sont bien côtés pas les utilisateurs. 
    J’aime bien analyser les produits avant d’acheter, d’où ces interrogations de plus étant en VAE et ayant un pied plutôt grand j’essaie de mettre en lien ces paramètres pour trouver un bon compromis.
    Merci encore.
    Alexis

  58. Bonjour à tous,
    Je poste rarement mais je me dis que peut-être ma contribution « aidera » quelqu’un qui se pose des questions.
    J’ai commencé le vélo tout petit (5 ans) et j’ai donc suivi le mouvement : cales pieds à lanières puis pédales automatiques (avec lesquelles je n’ai donc aucun pb du fait que j’ai commencé tout petit).
    A l’adolescence, avec l’évolution de ma pratique du vtt (un peu de trial/dirt etc pour rigoler/progresser), je me suis mis à rouler « un peu » en pédales plates pour travailler la technique et pour le fun.
    Ces dernières années (j’ai 37 ans ) j’ai passé de plus en plus de temps en plates (l’hiver notamment), que ce soit en musculaire comme en vae.
    Aujourd’hui mon avis sur la question est le suivant.

    1/En premier lieu je rejoins ce qui est dit dans l’article au niveau de « l’état d’esprit » et la pédale plate est synonyme pour moi du plaisir avant tout et sans contraintes (performance/temps etc). En tous cas c’est ce que je ressent quand je roule en plates.

    2/Ensuite concernant l’aspect « technique » je rejoins encore une fois l’article et il n’y a, pour ma part en tous cas, aucune différence. Je passe les mêmes choses et fais les mêmes gestes en auto ou plates et quelle que soit ma pratique, mais j’ai néanmoins une légère préférence pour les sensations de stabilité (appuis/sauts) que j’ai en plates et que je ressent moins en auto. Notons aussi que pour travailler de nouveaux gestes je préfère largement les plates.

    3/Enfin concernant l’aspect « rendement/performance au pédalage » il y a un aspect qui n’est pas vraiment abordé dans l’article de mon point de vue.
    Il s’agit du terrain de jeu sur lequel on évolue.
    Rouler en plate sur un parcours « linéaire », en montagne notamment, me va très bien et la perte ressentie/mesurée est mineure (ou inexistante) dans mon cas. Une longue cote au train suivi d’une longue descente, parfait en plate.
    Maintenant rouler en plates sur un terrain avec peu de relief, et donc sur un parcours ultra dynamique fait de courtes cotes/de relances permanentes et de singles à plat (typiquement les forêts parisiennes), devient pour moi beaucoup moins approprié/rigolo. Sur un tel terrain de jeu je trouve que les pédales automatiques (re)prennent indéniablement l’avantage pour l’explosivité qu’elle permettent de transmettre (et dans toutes les positions) et qui fait que l’on garde une vitesse suffisante (une petit coup de pédales par ci par là) pour prendre un max de plaisir sur ce type de parcours.
    Je pense donc que le terrain de jeu est un paramètre à bien considérer dans la réflexion.

    Personnellement je roule avec les 2 suivant mes envies et mon programme, comme ça le pb est réglé.

    Bon ride.

    PS : en plates je roules en pédales SAINT et OneUp composite (mes préférées) et chaussures Five ten freerider pro (mes préférées) et Five ten Impact.

  59. Je roule en combo shimano (de la génération précédente) en pumptrack, street/trial, condition hivernale, autant les pédales ras, par contre les semelles prennent chère avec les picots, ce qui donne des chaussures moins durables qu’avec des cales.
    Question : le problème d’usure de la semelle est-il le même avec les autres marques ?

    1. L’usure est inévitable, je n’ai cependant pas noté d’usure plus marquée sur la Shimano que les autres.
      Par contre si tu marches beaucoup avec, que tu grattes/bouges beaucoup tes pieds sur les picots, etc. forcément, l’usure est accélérée !

      1. Je suis passé en Fiveten Sleuth et sleuth dlx et l’usure du aux picots est inférieure comparée au shimano de la génération d’avant.
        Par contre les sleuth sont trop basiques et défonce vite les pieds (trop souple et fin) et pour le VTT les DLX reste un peu trop souple et manquent de protection surtout sur l’avant du pied pour être parfaites.
        Niveau grip, avantage au fiveten que se soit sur les pédales ou en dehors.
        Les FT freerider pro pourrait donc être un bon choix pour un usage VTT …

  60. Hello, question toute bête est-ce que les pédales présentées ici sont aussi pour les VTTAE ou il faut mettre des pédales spécifiques?

    1. Une paire de pédales plates est une paire de pédales plates. Elles ne sont aucunement spécifiques à une discipline 😉 Chacun ses goûts !

  61. Bel essai, ça donne envie après une entorse due à une difficulté à déchausser suite à un dérapage dans une montée bien raide ?
    Intérêt à mettre des protèges tibias pendant la période d’adaptation en all mountain ?
    Si oui, un modèle à privilégier ?

    1. Ça peut éviter quelques points de suture qu’on a tous connu à nos débuts en vélo, notamment à cause des picots des pédales plates qui trainent…
      De mon côté, ça fait bien longtemps que je n’ai pas enfilé une paire de protège tibia. Je ne suis pas de bon conseil là dessus. Cependant je sais que certaines marques, comme ION, propose des protèges tibias légers intégrés à des chaussettes montantes. Une solution qui peut être intéressante aussi 😉

  62. Merci pour cet article intéressant.
    Ma question concerne l’usage de certaines chaussures pour pédales autos sur des pédales plates.
    Exemple : que donnent des Five-Ten Kestrel ou Hellcat sur des pédales plates ?
    L’idée est d’avoir une chaussure polyvalente qui me permettrait de commencer en pédales plates puis d’évoluer en auto par la suite.
    Merci d’avance

  63. Bonsoir article très intéressant j’ai des ion raid 2 et je cherche des pédales qui correspondraient bien à la forme. J’ai des dartmoor stream qui sont très plates et je trouve que la semelle assez rigide des ion n’épouse pas suffisamment la forme. Je roule en all mountain et budget 60/70 si possible. Merci d’avance

    1. Pour le coup tu te retrouves avec les shoes les moins bien « classées » de ce comparatif. Elles sont tellement rigides et la gomme est particulièrement dure et si tu ne veux vraiment pas en changer, tu dois viser les pédales les plus concaves possibles et aux picots les plus fins.
      Comme tu le dis, elles n’épousent pas les formes, il faut alors que ce soit la pédale qui le fasse. Les pédales Bontrager Line Pro sont donc les seules de ce test qui pourraient convenir 😉

      1. Merci pour la réponse. J’ai pas prévu de changer de chaussures pour le moment puisque je me met aux plates après plusieurs années de clips. Du coup je regarde pour des pédales concaves, les bontrager ont l’air bien effectivement mais peu concaves. Je ne trouve pas ou très peu de modèles très concaves. En connaissez vous?
        Merci d’avance

  64. Yop !

    Bien bien tout ça, mais quid de chaussures pour faire du VTT par tous temps et tous terrains ? Je m’explique : le grip de ces chaussures sur les pédales OK, mais s’il faut pousser/porter dans la glaise avec ces semelles (qui ont tout de la savonnette) ?
    Je cherche des chaussures pour pédales plates mais qui permettent ce qu’on peut faire avec une bonne paire pour pédales auto (genre mes Mavic ou mes Spe d’hiver).

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