Vidéo : Richie Rude – The Silent Shredder

Plutôt réservé mais diablement doué, Richie Rude a déjà (quasiment) tout gagné en Enduro comme en DH. Yeti Cycles nous livre un portrait décalé de son athlète qui à toujours privilégier l’action à la communication…

Rédacteur en Chef
  1. Salut Pierre, il ne gagne plus le général mais il arrive encore à gagner des spéciales. Il est loin d’être fini
    7 spéciales de gagnées sur cette saison. Ça le place 3ème, derrière Dailly avec 15 et Hill avec 8 scratch et loin devant Maes, Grave ou Melamed avec 4 scratch. C’est quand même une sacrée perf.

    Ce qui est plus étonnant c’est son irrégularité. Il est capable d’en gagner une et de faire une 50ème place à la suivante, c’est comme si il s’obligeait à freiner pour pas faire de vague. La suprématie de la saison dernière était frappante et a fait beaucoup parler dans le paddock et à l’extérieur, a juste titre d’ailleurs. Ne serait-il pas la raison du pourquoi et du comment et un moyen de se faire oublier un temps ?

    Est-ce que quelqu’un aurait une analyse sur ce sujet?
    Antoine, a travers les stats délivrées par les EWS, n’y aurait-il pas une piste à creuser pour essayer de comprendre ces raisons ?

    Pour moi, Rude est en sommeil. Il va de nouveau se réveiller…
    A suivre

  2. Erratum, c’est 9 scratch pour Hill et 8 pour Rude sur toutes les manches EWS de la saison et ce sur 56 spéciales.

  3. manu, la théorie du complot ?
    non, je crois qu’il a eu des pbs mécaniques … parce que dire qu’il fait express !!!

  4. Méforme, maladie, problèmes techniques, crevaisons et une concurrence qui est toujours plus redoutable chaques années. Et peut être aussi une évolution des machines de certains concurrents. Peuvent être la raison d’une saison plus dans l’ombre pour Ritchie. Sans compter une première manche qui à coûté de gros point aux favoris chez les kiwis puis la manche de Tasmanie qui leurs a également coûté de gros points.

    En cinq ans le niveau de la discipline n’a fait que monter. Des gars que l’on trouvait dans les 15 à 30 premières places en 2014-2015 sont relégués parfois au delà de la 50ème places en 2017. Peu ont fait le chemin inverse à l’exception de Théo et de quelques autres.
    Accrocher un top 20 en 2017 signifie que l’on a bien roulé et pas eu de pépins.

  5. Le fait d’avoir signé chez Red Bull explique aussi sa saison irrégulière: il avoue sans gène qu’il a, avec ce sponsor, atteint un autre Graal…son troisième en trois ans. Son mental était surement à la fois fatigué et repu. 2018 sera une autre année, à n’en pas douter!

  6. pierre, loin de moi cette pensée sur la théorie du complot. C’est juste un constat lorsqu’on regarde les feuilles de résultat des EWS de cette saison.
    Il était si imbattable la saison dernière qu’effectivement, c’est à ce poser la question sur le pourquoi de ses résultats en dent de scie de cette année.
    Malgré tout, il finit 10ème au général, ce qui en soit une une sacrée perf.

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