Verdict – Essai du Rocky Mountain Slayer 790 MSL

L’heure du verdict a sonné pour le Rocky Mountain Slayer 790 MSL à l’essai Endurotribe. Depuis sa mise en tuyaux début mai, de l’eau a coulé… Et c’est tant mieux, d’autant que certains concurrents aux dents longues ont été présentés depuis !

Cette période ne pouvait donc pas mieux tomber. Elle permet plus que jamais de profiter de l’actualité, et des expériences diverses pour affiner les jugements, et préciser les ressentis. Place au Rocky Mountain Slayer 790 MSL, place au terrain !

 


Temps de lecture estimé : 8 minutes


 

 

Ordre et méthode

On l’expose dans les tuyaux de cet essai : le Rocky Mountain Slayer propose de choisir entre 4 nuances de géométrie différentes. Comment s’y retrouver ?!

Tout d’abord, en réduisant le champs des possibles. À mon sens, les positions 1, 2 & 3 sont les plus fidèles à l’esprit du vélo. Boitier haut, angles conservateurs, position centrale : la position 4 s’en éloigne. L’utiliser, c’est comme s’offrir une Porsche, mais refuser de passer les 3000 tr/min par peur de l’endommager…!

Ensuite, en saisissant la logique : plus on s’approche de la position 1, plus la géométrie pousse à la débauche ! Le boitier descend, l’angle de direction se couche. Le pilote est progressivement déporté vers l’arrière. il s’assoie de plus en plus au dessus de la roue.

 

 

Traduction directe !

À ce petit jeu, lever la roue avant pour bunny-upper, faire un manual ou décaler dans les sections trialisantes est de plus en plus facile. On tourne de plus en plus au dessus des bases, relativement courtes, du Rocky Mountain Slayer.

Pour autant, deux paramètres doivent permettre de définir jusqu’où aller dans cette démarche. Se rapprocher de la position 1 signifie, quoi qu’il en soit, d’abaisser le boitier de pédalier. Un essai sur ses terres de prédilection doit vérifier que la hauteur reste raisonnable pour ne pas flinguer les manivelles.

C’est ensuite une affaire d’homme ! La position 1 assoie le pilote, le repousse vers l’arrière et réduit l’espace disponible pour se mouvoir d’avant en arrière. Elle met ses cuisses, et la précision des gestes au défi. Si l’on pousse, ça peut aller vite et loin, très loin !

D’autant plus que dans le même temps, plus bas, plus racé, le vélo en devient plus stable et rapide… Alors qu’avec moins de poids sur l’avant, il gagne en maniabilité lorsqu’il faut tirer sur le cintre… Bref, de la position 3 à la position 1, le Slayer devient plus capacitif, et exigeant. À chacun ses limites ?!

 

 

Influence ou non ?

Bonne nouvelle en tout cas, les limites ne se situeront pas dans les réglages des suspensions. Si l’on met la position 4 de côté, passer de la position 1 à la position 3 ne demande pas de tout revoir. Dans un premier temps, on peut même éviter de toucher, c’est roulable. De quoi tâter le terrain, avant de s’y attarder.

C’est ensuite que quelques ajustements peuvent entrer en jeu. Après tout, qui dit différence de répartition des masses, dit assiette et dynamique quelque peu différentes. Mais premier bon point, les SAG ne sont pas remis en cause. Du moins, en statique, l’influence est plus faible que l’erreur de mesure elle-même.

À l’usage, on constate que l’on peut jouer finement : passer de la position 3 à la position 1 peut pousser à retirer 5Psi dans la fourche, en ajouter 5 à 10 dans l’amortisseur. Ou bien, retirer 2 clics de compression à l’avant, et les ajouter à l’arrière. Ou inversement, fermer de 2 clics en détente à l’avant, ouvrir de 2 à l’arrière…

 

 

Réglages optimaux

Voilà pourquoi le tableau qui suit préconise une configuration de base – valable pour la position 3 – avec des plages de réglage vers lesquelles tendre si l’on se rapproche de la position 1. Dans tous les cas, je préconise des réglages qui respectent et favorisent le caractère du Rocky Mountain Slayer.

À savoir qu’à l’usage, le ratio très élevé en début de course de sa suspension arrière implique une raideur très faible – donc une sensibilité au dessus de la moyenne – avant de compter sur une progressivité qui prend son temps pour se mettre en oeuvre.

En découle les 2/3 du débattement à la raideur très tolérante, avant que  la progressivité fasse véritablement, et bien, son oeuvre. Un très bon terrain pour jouer sur l’hydraulique et la laisser s’exprimer. C’est pourquoi, 30% de SAG suffisent, et que l’usage de compressions, hautes et basse vitesse, s’immisce ici.

 

RéglagesAvantArrière
SAG30%30%
DétenteMilieu de plage
(+2 clics fermés)
Milieu de plage
(+2 clics ouverts en BV)
Compressions20/24 (basse vitesse, -2 clics)
18/22 (haute vitesse)
20/24 (basse vitesse, -2 clics)
18/24 (haute vitesse, -2 clics)
Token / Spacersorigineorigine

Clics de détente et compression comptés depuis la position la plus vissée des molettes.  SAG arrière réalisé assis/selle haute – SAG avant réalisé debout/bras en appui sur le cintre / épaule à l’aplomb du guidon. 

 

 

Logique de gamme…

Ok. Mais quid des modèles plus bas en gamme que ce très élitiste Rocky Mountain Slayer 790 MSL ?! Ils ne disposent pas forcément de réglage(s) en compression… Effectivement. Et de toute façon, en un sens, cette usage reste marginal.

C’est la valeur initiale du ratio de suspension qui me fait dire ça. Et la forme de sa courbe ensuite. Très élevée, puis relativement plate au départ avant de plonger… Qu’on le veuille ou non, le Rocky Mountain Slayer aura toujours tendance à être souple, plush, pépère, confortable, canapé…

En un sens, on peut comprendre que certains pilotes du team Enduro World Series aient mis la main avec succès sur le nouvel Altitude, dévoilé au printemps 2017. Le Rocky Mountain Slayer se destine au gros, à l’engagé, à la pente, pas nécessairement là où ça relance et virevolte le plus.

 

 

Papa poule !

Les paramètres évoqués ci-dessus prennent donc clairement le dessus dans la perception du comportement. Ils s’accordent notamment avec le faible anti-rise du vélo : comprenons qu’au freinage, la suspension arrière du Rocky Mountain Salyer se détend très peu. Si le vélo est assis, il le reste, l’adhérence est folle à l’arrière.

Sensible en début de course, pas chahuté au freinage, le Rocky Mountain Slayer laisse clairement percevoir tout le débattement dont il dispose, sans pour autant faire la saucisse ou chahuter son pilote devant en arrière. Le rendu final est particulièrement sain, homogène et cohérent. Il facilite les choses.

C’est ce qui me donne envie de gratifier le Rocky Mountain Slayer du titre de Papa poule ! Il se pilote presque comme un vélo de descente ou un 29 : dans un timing plus serein et posé. On simplifie et on arrondie les trajectoires. On étale les appuis. On se calme, on se pose. On laisse faire en partie, et l’on se consacre à l’essentiel.

 

 

Rouleur ? Un peu…

Dans tous les cas, une dernière précision s’impose pour bien saisir le Rocky Mountain Slayer. Croire qu’en insistant sur la tranquillité d’esprit qu’impose le Slayer endort le pilote est trompeur. Il n’est pas lourd, ou soporifique. Au pédalage notamment, cette version Rocky Mountain Slayer 790 MSL se défend, avec ses arguments.

Deuxième vélo équipé de roues NoTube Flow après le Transition Patrol, je commence à en cerner le comportement. Elles limitent ici l’inertie et apporte ce qu’il faut de dynamisme pour maintenir cette version haut de gamme 790 MSL dans de bonnes considérations.

Mais un point, commun à tous les niveaux de gamme du Rocky Mountain Slayer, attire mon attention : les jantes en 30mm de largeur interne sont des éléments clés. Elles permettent d’utiliser les carcasses Maxxis Exo dans leur version à plus gros volume 27,5×2,5WT sans gros risques…

 

 

Dans le bon sens

Plus gros volume mieux déployé et assis sur jantes larges, les carcasses Maxxis Exo ont démontré de bonnes prestations que je ne leur connaissais pas jusqu’à présent… Et que j’ai depuis confirmé à la prise en main du Santa Cruz Nomad 4.

Je n’irais tout de même pas jusqu’à dire que les compétiteurs s’en satisferont, mais force est de constater qu’ainsi, les carcasses EXO peuvent remonter dans nos estimes. Ici, comme pour le concurrent californien, l’emploi de ces pneus à faible inertie participe à une bonne prestation au roulage.

 

 

En aparté…

D’ailleurs, l’usage des deux vélos sur la même période me conforte dans la perception de chacun. J’ai le sentiment que la suspension du Santa Cruz Nomad fige un petit peu plus au pédalage, notamment après le SAG. Il se pourrait que les valeurs d’anti-squat soient plus élevées à ce stade précis.

C’est l’impression qui me conforte dans l’idée que le Rocky Mountain Slayer est définitivement Papa Poule… Et que le Santa Cruz Nomad ne pédale pas si mal que ça ! En clair > le haut de gamme californien pédale mieux que le haut de gamme canadien !

Dans les deux cas, les prestations des deux modèles sont intéressantes. Quand on y pense, les vélos dotés de 170mm de débattement ne pédalaient pas si bien il y a encore 5 ans… Ces gros vélos, dont le coeur de métier ne se joue pas au sprint, progressent dans leurs segments. Pour peu que l’on compare ce qui est comparable, on tient là deux bons repères…

 

 

Conclusion

D’ailleurs, au delà de ce rapprochement avec le Santa Cruz Nomad 4, un autre n’échappera pas aux plus assidus de nos essais. D’une certaine manière, le Rocky Mountain Slayer et ses quatre positions de géométrie fait un peu le même job que le Canyon Spectral, disséqué il y a peu.

En partant d’une position raisonnable, et en permettant d’expérimenter facilement et progressivement quelque chose de plus pointu, le Rocky Mountain Slayer fait lui aussi la passerelle entre les différents niveaux et bagages techniques.

Mais alors, où se situe la différence ? Dans la vitesse de croisière, et dans la nature des terrains dont le Rocky Mountain Slayer se délecte. Ce n’est pas une fine lame, mais un sabre à proprement parlé. Il se nourrit de plus, et de plus gros…

Logique pour un Enduro à fort débattement, vis-à-vis d’un All Mountain qui vise un peu au dessus de sa classe… Début de réponse à la question fatidique : pourquoi voudrais-je le garder ?! 

« Papa poule, le Rocky Mountain Slayer est aussi dynamique et racé à l’oeil, que sain et sage à l’usage. Le genre de monture sur laquelle on peut toujours compter de manière facile et généreuse. De la randuro technique et réputée, à la journée navette endiablée, pas de doute : ça va passer… Facile ! D’autant que si l’on commence à jouer des positions de géométrie, j’en connais qui vont finir par se lâcher, et franchir un cap, un gros ! »

 

 

Positionnement & usage

En synthèse, le tableau de positionnement et d’usages permet, en un seul coup d’oeil, de saisir les capacités du vélo. (rafraichir la page si le tableau ne s’affiche pas)

Comparées à celles des autres vélos à l’essai permettra de répondre à l’éternelle question > par rapport aux autres, qu’en penses-tu..? rendez-vous sur la page du Comparateur d’essais VTT Endurotribe pour en savoir plus >  https://fullattack.cc/comparateur-essais-vtt-2016/

 

Rédac'Chef Adjoint
  1. Slayer altitude mon cœur balance…
    En tout cas pour le slayer me voila bien plus avancé merci pour ce test.

  2. @David > ce devait être le cas au départ, mais un problème logistique indépendant des volontés de Tribe Sport Group et Endurotribe nous ont contraint à nous rabattre sur ce modèle équipé Fox. Néanmoins, certains éléments apporté à ce verdict peuvent donner des réponses. Que souhaitez-vous savoir au sujet du Slayer setup RockShox ?

  3. Merci pour le test. Toujours au top!!!

    J’ai eu la chance de tester l’altitude90 au VVF. Pour moi l’enduro restera toujours ce type de bike! il est énorme (la ou j’ai rider le SB6 avec concentration, j’ai eu l’impression de rouler aussi vite avec l’altitude mais avec un énorme sourire.) L’amorto était pourtant pas top du tt et le talonnage souvent présent… Avec l’amorto fox le bike doit être énorme.
    (@Antoine il passe quand entre tes mains j’ai hâte de voir ton article?)

    je vois le slayer plus pour du bikepark que pour de l’enduro compétition ou vélo de l’enduriste standard. Trop gros pour taper ton 1000 m de D+ en montagne avant de souder le D-.

    Sympa pour les pilotes en EWS qui ne lache pas 1 centime et sympa également pour le développement des futurs bikes mais sinon je

    @fab Altitude sans hésitations. Très fun, facile à placer, stable, bonne rigidité… niveau pédalage d’après les mecs de Tribe tu as le même rendement que sur un SB6 (je n’ai pas pu tester ce point la) en tt cas ça relance bien en sortie de virage.

  4. Très beau vélo et bel article mais j’avais bien aimé quand il y avait eu des chronométrages sur une descente avec le Yeti SB505 et le BMC Trailfox. C’est agréable et intéressant d’avoir des repères chiffrés. Pareil pour le pédalage, l’appréciation reste un peu dans le flou : »pas vraiment bon mais pas mauvais » !!! Malheureusement, je n’ai pas pu l’essayer au Vélo Vert Festival car Tribe sport Group m’a dit ne pas avoir sur place le modèle en taille M mais j’ai essayé avec très grand plaisir le Yeti SB5.5 tant apprécié sur ce site. Le test très court que j’ai effectué va globalement dans le sens de ce que j’avais lu dans ces pages mais avec un léger bémol sur le confort et par contre strictement aucune sensation de pompage pénalisante pour le pédalage malgré un SAG très coorect.
    De plus, je suis sûrement un peu daltonien, mais j’ai toujours un peu de mal avec le code couleur des pratiques. Il y a 5 couleurs dans l’échelle et 4 pour le Slayer. Il me semble que la couleur « possible » n’est pas mentionnée pour lui mais c’est difficile de comprendre pourquoi. En plus, ça serait beaucoup plus simple de ne pas avoir l’intermédiaire de la couleur qui n’apporte pas grand chose et de marquer directement les mentions « inadapté, possible … » directement dans le cadre en dessous de la pratique.
    Par ailleurs, à quand des essais comparatifs ? Lourds à mettre en place mais toujours riches, passionnants et plus pertinents.

    1. @J07 > quel SAG et quel taille de plateau sur le SB5.5C ? « Pratique possible » ne s’impose pas pour le Slayer car il est soit plus adapté (pratique régulière), soit moins (pratique ponctuelle). Il n’y a pas d’obligation d’utiliser les 5 niveaux de l’échelle à tout prix. Ce serait se priver d’une possibilité supplémentaire de connoter chaque vélo. Et dans cette logique, la couleur permet au contraire, par contraste ou continuité, de saisir d’un coup d’oeil où se situent les limites d’usage, ce qui ne serait pas visuellement parlant avec des mots dans des cases.

  5. Merci pour les explications et j’avais bien compris qu’il n’y avait pas d’obligation d’utiliser toutes les couleurs mais pour moi, le problème de perception des couleurs rend la perception vraiment difficile.
    Pour le Yeti, j’avoue que je n’ai pas regardé le nombre de dents du plateau qui était relié à un groupe Eagle 12 pignons. Mais mon expérience personnelle me donne souvent une perception du comportement au pédalage très différente de celle évoquée dans les tests de magazines avec souvent moins de pompage, des phénomènes de kick-back en général très désagréables et pénalisants, notamment avec les points de pivot virtuels, et des comportements de suspension incroyablement différents qu’on ne peut pas imaginer « sur le papier ».
    Alors que j’ai été longtemps réfractaire au 29″ psychologiquement, le Spe Enduro 29 m’avait immédiatement convaincu et j’ai trouvé le Yeti SB5.5 non seulement très bon mais évident et sécurisant à prendre en main. J’ai aussi essayé le dernier Spe Enduro 29 et même si les suspensions d’entrée de gamme étaient un peu limitées, j’ai été bluffé par la réussite de la géométrie et de la position. Pour les 2 vélos, je n’ai jamais senti de gêne par rapport à la taille des roues et j’avoue que pour moi, j’ai un peu de mal à trouver de l’intérêt au 27,5 dès que le terrain devient difficile. Tes commentaires sur le Norco sont aussi extrêmement intéressants. La géométrie d’un VTT est étonnamment complexe et surprenante mais peut-être qu’un fois que les bases ont la même longueur et que la chasse à la même valeur que sur un 27,5 grâce au déport de la fourche, on profite des avantages du 29″ avec très peu d’inconvénients ?

  6. Dans mon laïus sur le pédalage, j’ai oublié de dire que derrière l’apparente simplicité du mouvement se cache en fait une grande complexité et un geste très technique qui varie énormément d’un pilote à l’autre. Sans être soi-même sur le vélo, il est assez facile de voir qu’un même vélo se comporte très différemment au pédalage avec 2 personnes différentes. C’est surprenant et pas facile à comprendre précisément.

    1. @J07 > si les couleurs ne sont pas contrastées, c’est que le vélo ne l’est pas non plus. Le pédalage et sa perception restent des choses (très) subjectives, propres à chacun. Et pour avoir roulé le Joker E160, je comprends que les points de vues ne portent pas forcément sous les mêmes perspectives 😉

  7. Je ne savais pas qu’il fallait reprendre des études en aéro-spaciale appliquée pour régler un vélo…. J’avoue que ça me fout le bourdon tout ça, alors qu’il faut juste apprendre à plier les jambes, non?
    Normal, je suis un gros blaireau qui roule en hardtail punk-acier!!! (Stanton Switchback), et j’adoooooore mon Slayer SXC alu « complètement has-been » de 2008 qui n’a pas bougé d’un iota!
    Bisous les filles!

    1. @666inches > entre ce que la marque fait en interne à ses suspensions, le tableau des réglages préconisés et les conseils qui vont avec au sein de l’article, il n’y a presque plus qu’à compter des clics. Ils font plus que ça dans l’aérospatial non ?! 😉

  8. Bonjour.

    Actuellement au Canada mais roulant sur un stumpjumper expert evo 29 en carbone de chez spe(2015 modèle juste avant le nouveau cadre)
    Je souhaite avoir votre avis le slayer pour sa capacité à grimper du 600m de D+ à 1000 voir 1500 pour de grosse sortie enduro.
    Je n’ai pas vu beaucoup de test disant ce qu’il en etait pour la montée.
    J’hésite avec un devinci troy Carbon gx mais qui doit se rapprocher du stump je pense.

  9. Salut antoine merci de m’avoir répondu ( je ne l avais pas vu ) je t avais demandé si tu avais pu essayer le slayer en rock shox car j en possede un et je me retrouve dans ton essaie sauf au niveau du confort , je le trouve bien moins confortable que l ancien altitude est ce possible que ce soit du a l amortisseur rock shox ? Et penses tu qu un ressort pourrait compenser , sans perdre voir améliorer la vivacité ? Merci

  10. Salut a tous.

    Voilà, je ne trouve pas le forum donc je pose ma question ici. J’ai un slayer 2017 mais modele de 730 donc entrée de gamme.
    J’ai trouvé d’occasion l’amortisseur Fox DPX2 neuf d’un slayer 2018 790.
    Seulement, quand je veux le monter à la place, l’entretoise n’est pas la meme et ma vis du système 4ride ne passe pas a travers. L’axe fait 10mm alors qu’avec l’entretoise, cela fait 8mm.
    Apres quelques recherches, il parle de differences entre Fox et rockshock mais la vis du système reste la meme: http://nedlasting.7blaner.no/Rocky%20Mountain/Tech%20manuals/Slayer%20Exploded%20View.pdf

    Bizarre cette histoire. Et d’après le site de Fox sur tune ID, j’ai bien un amortisseur de Slayer 2018 C90.
    Vous avez plus d’info vous ?

    1. À en croire le plan fourni, c’est du 8mm en haut, 10mm en bas > n’aurais-tu pas inversé des éléments, ou essayé de monter l’amortisseur à l’envers ?

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